Réponse :
1. sous un olivier mort. En essayant d'extraire les racines du sol, Jean Coll donna des coups de pioche dans la terre et frappa sans le savoir la statue.
2. la venus est d'une merveilleuse beauté. Elle avait le haut du corps nu, comme les anciens représentaient d'ordinaire les grandes divinités ; la main droite, levée à la hauteur du sein, était tournée, la paume en dedans, le pouce et les deux premiers doigts étendus, les deux autres légèrement ployés.
3. il a eu une blessure a la jambe, en effet elle tomba sur la jambe de Jean Coll, pourtant excellent coureur et joueur de paume aguerri.
4.Notable cultivé d'Ille, M. de Peyrehorade est antiquaire. C'est lui qui accueille très chaleureusement le narrateur. C'est un bourgeois de province, qui se prendrait bien volontiers pour un savant. Il est amoureux d'une statue de Vénus découverte récemment, dans ses terres. Il mourra quelques mois après la mort de son fils, sans doute de chagrin.
5. L'apprenti serrurier : Jette une pierre à la statue – entame le cuivre avec une. lime - enlève ses yeux d'argent avec un ciseau
6. quand on la regarde avec ses "ses grands yeux blancs", on baisse les yeux éblouis par sa beauté . De plus on constate qu’en la regardant elle fait des malheurs comme le médecin Jean Coll.
7. « Prends garde à celui qui t'aime, défie-toi des amants » ou bien par : « Prends garde à toi si elle t'aime. »
8. Alphonse de Peyrehorade apprécie une qualité essentielle de sa fiancée : Elle est immensément riche - elle est très belle - elle a. fait de bonnes études.
9. La bague destinée à Mlle de Puygarrig porte l'inscription suivante : « Souviens toi de te méfier » « toujours avec toi » «A toi pour la vie »
