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Sagot :
Bonjour
Réponse :
1) Quelle figure de style remarquez-vous dans le premier paragraphe ? Citez deux passages précis comme preuves.
On remarque un parallélisme car les deux propositions ont le même schéma syntaxique : "une tête qu'on moulera d'un côté, un tronc qu'on disséquera de l'autre.". Celui-ci est renforcé par une antithèse "d'un côté" et "de l'autre". Ces figures de style renforcent l'opposition entre les deux parties du corps : ils sont à l'opposé l'un de l'autre.
2) Relevez, nommez et expliquez l’intérêt de deux figures de style, entre les lignes 9 et 16.
On relève une comparaison entre la chevelure de l'enfant et sa texture douce : "les boucles de tes cheveux (comparé) comme (outil de comparaison) sur de la soie (comparant).
On relève aussi une anaphore car le pronom relatif "qui" est répété 3 fois en début de proposition désignant le narrateur, le père. Elle martèle l'idée que sa mort approche et pense aux moments tendres passés avec sa fille.
3) « Quel crime j’ai commis, et quel crime je fais commettre à la société ! » (ligne 23) : expliquez cette phrase par rapport au texte.
Il parle d'une part du crime qu'il a commis et dont il est condamné à mort et d'autre part du fait que sa fille sera sans père pour s'occuper d'elle.
4) Relevez, nommez et expliquez deux figures de style qui montrent l’émotion du narrateur dans le dernier paragraphe.
On relève une anaphore du déterminant démonstratif "ce" qui ici a une valeur péjorative comme s'il montrait du doigt ces personnes venant le chercher pour son exécution.
On relève aussi une seconde anaphore du pronom relatif "qui" renforcée par énumération. Cela crée une insistance sur le fait qu'il vit ses derniers instants.
5) Réécrivez le passage suivant en changeant « moi » par « nous ». Faites toutes les modifications que cela implique : « c’est pour moi ! c’est moi qui vais mourir ! moi, le même qui est ici, qui vit, qui se meut, qui respire, qui est assis à cette table ».
"C'est pour nous ! c'est nous qui allons mourir ! nous, les mêmes qui sont ici, qui vivons, qui nous mouvons, qui respirons, qui sommes assis à cette table"
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