Bonjour
Réponse :
1. Le poète se trouve dans une "rue" (v1)
2. Il s'adresse mentalement à la passante donc à lui même.
3. Le champ lexical du mouvement : "passa", "soulevant, balançant", "ouragan", "éclair", "fugitive", "je vais"
4. Le poète est troublé comme le montre les expressions : "crispé", "extravagant", "plaisir me tue"
5. On peut qu'il s'agit d'un amour impossible car elle ne fait que passait.
6. Ce poème est lyrique car le poète exprime son sentiment d'amour, le coup de foudre pour cette passante, à la première personne du singulier "je".
7. Ce poème compte 14 vers, soit 2 quatrains et 2 tercets, de 12 syllabes c'est à dire des alexandrins. C'est un sonnet.
8. Une allitération en "r" apparaît dans le premier vers : "La rue assourdissante autour de moi hurlait"
Elle nous fait entendre le grondement de toutes ces personnes marchant dans la rue.
9. Cette image illustre un passante mais ne nous montre pas que la rue est assourdissante.
10. a. Les verbes sont soulignés : "Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais"
b et c. Ils sont conjugués au présent de vérité générale.
11. a. "fascine" est un verbe.
b. fascination, fascinant
12. C'est un pronom personnel COD
13. Réécriture
La rue assourdissante autour de moi hurlait.
Longues, minces, en grands deuils, douleurs majestueuses,
Des femmes passèrent, des mains fastueuses
Soulevant, balançant les festons et les ourlets ;
Agiles et nobles, avec leurs jambes de statue.