Laurentvidal.fr vous aide à trouver des réponses à toutes vos questions grâce à une communauté d'experts passionnés. Expérimentez la commodité de trouver des réponses précises à vos questions grâce à une communauté dévouée d'experts. Découvrez une mine de connaissances de professionnels dans différentes disciplines sur notre plateforme conviviale de questions-réponses.

Svpppp pas du au pif

Réécrivez l’extrait suivant en utilisant les temps du récit (imparfait / passé simple).


Nous sommes maintenant coincés entre les Marocains et la grille. Il faut monter. Il n’y a plus d’autre solution. J’entends des coups de feu. Des corps tombent. C’est alors que je vois Boubakar, sur une échelle, à quelques mètres de moi. A mi-chemin entre la terre et le sommet. Il ne bouge plus. Il est accroché aux barbelés et ne parvient pas à s’en défaire. Des assaillants, sous lui, commencent à hurler. Ils veulent l’agripper pour le faire tomber et qu’il cède la place. Je ne réfléchis pas. Je descends dans sa direction. En quelques secondes, je suis sur lui et arrache la manche de son pull. Il me regarde avec étonnement.


Sagot :

Bonjour,

-Imparfait:

Nous étions maintenant coincé entre les marocains et la grille. Il fallait monter. Il n’y avait plus d’autres solutions. J’entendais des coups de feu. Des corps tombaient. Si t’as leur que je voyais Boubakar sur une échelle à quelques mètres de moi. À mi-chemin entre la terre et le sommet. Il ne bougeait plus. Il était accroché au barbelé et ne parvenait pas à s’en défaire. Des assaillants, sous lui, commençaient à hurler. Il voulait la grippé pour le faire tomber et qu’il cède la place. Je ne réfléchissais pas. Je descendais dans sa direction. En quelques secondes, j’étais sur lui et arracher la manche de son pull. Il me regarder avec étonnement.

-Passé simple:

Nous fûmes maintenant coincé entre les marocains et la grille. Il fallu monter.Il n’y eut plus d’autres solutions. J’entendis des coups de feu. Des corps tombèrent. C’est alors que je vis Boubakar, sur une échelle, à quelque mètre de moi. À mi-chemin entre la terre et le sommet. Il ne bougea plus. Il fut accroché aux barbelés et ne parvint pas à s’en défaire. Des assaillants, sous lui, commencèrent à hurler. Ils voulurent la grippé pour le faire tomber et qu’il cède la place.Je ne réfléchis pas. Je descendit dans sa direction. En quelques secondes, je suis sur lui et arracha la manche de son pull. Il me regarda avec étonnement.

J’espère t’avoir aidé. Bonne journée.