seba0908
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Bonjour j'ai besoin de votre aide svp en français. A l'aide de ces phrases, je dois réemployer avec mes propres mots les arguments pour justifier les gestes de Claude Gueux. Je vous remercie par avance :)

1°) « Un hiver, l’ouvrage manqua. Pas de feu, ni de pain dans le galetas. L’homme, la fille et l’enfant eurent froid et faim. L’homme vola. »

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2°) « C’était une belle tête. On va voir ce que la société en a fait. »

Que laisse présager cette dernière phrase ? Quel point de vue implicite est exprimé ici par l'auteur ?

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Sagot :

mariejoe57

Réponse :

bonjour

Explications :

1. Lors d’un hiver, il n’y eut pas de travail. Donc pas d’argent pour acheter du bois pour chauffer le logement misérable et pas de pain pour nourrir l’homme, la fille et l’enfant. C’est ainsi que l’homme vola afin de satisfaire les besoins primaires de ces personnes.

2. La dernière phrase laisse présager que la société va pouvoir soit aider la personne pour qu’elle s’élève intellectuellement dans cette société et qu’elle s’y intègre soit laisser la personne à « la belle tête » devenir un rejet de la société, de vivre et travailler simplement dans cette société sans lui donner la possibilité ni la chance de s’élever et de s’épanouir. Le point de vue implicite de l’auteur est que c’est la société qui façonne les personnes.

niogret2m

Réponse :

« Un hiver, l’ouvrage manqua. Pas de feu, ni de pain dans le galetas. L’homme, la fille et l’enfant eurent froid et faim. L’homme vola. »

C'était l'hiver, sans travail et sans nourriture, ils eurent froid et faim, alors l'homme vola.

"C'était une belle tête, on va voir ce que la société en a fait."

Il était plutôt beau, la société va le transformer. On s'attend à une évolution négative;

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