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Sagot :
Réponse:
Ce que je craignais arriva. C'était un matin, il était encore tôt. La sonnette de mon portail retentit. j'ouvris la porte, pour aller voir quel individu se présentait à moi un matin aussi tôt. Une sueur froide me traversa. elle était là, plantée devant moi, un air méchant et menaçant affiché à son visage. Je ne savais pas quoi faire. Aucun mot ne sortit de ma bouche, ni de la sienne. Elle me regardait avec un tel dégoût et un tel mépris. Et moi je la regardait, d'un air amoureux. Puis je revins à la raison, si elle était là, c'était bien pour me tuer. Alors, d'un geste brusque, lui claquant la porte au nez, je m' éffondrais, me demandant qu'est-ce que je faisais là et comment j'allais m'en sortir. je saisis ma clé et la tourna dans la serrure , je fis un double tour puis j'allais appeler mon ami Marcus , qui habitait à quelques rues d'ici pour qu'il vienne me sortir de ce cauchemar. Je lui expliquais ce qu'il se passait. Il me dit qu'il gérait la situation. Quelques minutes passèrent puis j'entendis un bruit assourdissant devant ma porte, un bruit de tir. Inquiet, j'ouvris la porte doucement, elle était encore là mais cette fois ci elle était sans vie, son cadavre était étalé au sol. Je vis Marcus au loin, qui me fit un signe, une carabine à la main. c'est à ce moment là où je compris. Il avait tué cette femme pour me venir en aide. Je ne savais plus quoi faire. devais-je le remercier ? il avait quand même commis un meurtre, et j'étais dans la procédure. Je jettais un coup d'oeil sur le seuil de ma porte, le corps était encore là, je ne savais pas quoi faire. Puis une idée me traversai l'esprit, j'enfilais mes chaussures et marchai jusqu'au lac où je décidai de jeter celle ci dedans. C'était le même lac que celui où avait été prise la photographie. c'était une décision horrible mais je ne pouvais pas garder un cadavre chez moi. En rentrant à mon domicile je m'assis sur mon canapé pour regarder ma télé quand je tourna le regard vers la photographie, j'eus un vertige, le corps était là, flottant dans le lac, sur la photographie. Je décidai de prendre la photographie , la déchirer puis la brûler pour en finir avec toute cette histoire. Je m'endormis, sans manger, en me demandant si cette journée ne serait pas la pire de ma vie.
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