Réponse :
bonjour
Explications :
1. Il s’agit de la vipère : elle est réelle au début et symbolique à la fin du livre
2. Le narrateur appartient à la bourgeoisie. Il a des domestiques, des précepteurs pour ses enfants, vit dans une grande maison (32 pièces !)
3. Le récit démarre en été 1922.
4. Les retrouvailles avec la mère sont plutôt violentes. Les enfants étaient pourtant très heureux de la revoir mais la mère gifle les enfants et leur fait porter ses bagages. Aucun sentiments d'amour n'est présent.
5. L’éducation du narrateur et de son frère Félix est très stricte. Ils avaient un emploi du temps qui les occupait presque neuf heures par jour. Entre les leçons, les prières, le travail, des récréations silencieuses, ils n’avaient pas beaucoup de loisirs. Et pendant les repas, ils ne devaient communiquer que si on leur pose des questions et répondre en anglais ; Ils n’avaient pas droit à la parole autrement.
6. La mère est comparée à une gardienne de prison pour femmes.
7. La pistolétade : il s’agit pour Jean de regarder fixement sa mère dans les yeux, et ce le plus longtemps possible, et surtout ne pas baisser les yeux.
8. La mère a acheté un seul costume. Ainsi chacun des enfants le porte tour à tour sans que personne ne voit la supercherie.
9. Lorsque le père leur apprend que leur mère peut mourir, les enfants sont surexcités et hurlent « Folcoche va mourir ! »
10. Une maison de correction est un lieu où l’on envoie des enfants qui ont des problèmes de discipline, de comportement, de non-respect des règles. en général. Pour tenter d’y envoyer le narrateur, la mère essaie de le faire accuser de vol en dissimulant un porte-monnaie contenant des billets dans sa chambre. Ainsi elle va pouvoir l’accuser de vol et il atterrira en maison de correction. Il va gagner la bataille parce qu’il a vu ce que sa mère a fait et compris ce qu’elle projetait. Brasse-bouillon réagit très vite. Alors elle n’a pas le temps d’alerter tout le monde puisqu’il lui rapporte l’argent et comme cela il lui montre qu’il n’a plus peur d’elle. Il l’a menace aussi de révéler son stratagème à toute la famille et par ce chantage, la mère n'a d'autre choix que de capituler : il peut aller au collège où il sera interne. Il a gagné !
11. Cette vipère représente la mère du narrateur. Il la tient dans sa main, il la maitrise à présent il sort vainqueur.
12. C’est une histoire très touchante, on se sent impliqué dans l’histoire, on imagine bien les enfants maltraités, leur condition de vie avec cette mère violente et agressive.