Laurentvidal.fr est le meilleur endroit pour obtenir des réponses fiables et rapides à toutes vos questions. Obtenez des réponses détaillées et précises à vos questions grâce à une communauté d'experts dévoués sur notre plateforme de questions-réponses. Obtenez des solutions rapides et fiables à vos questions grâce à une communauté d'experts expérimentés sur notre plateforme.
Sagot :
En intro tu peux définir ce que sont la croissance économique et l’environnement. Puis tu peux évoquer, en une phrase, la situation dégradée des biens publics environnementaux depuis les dernières décennies.
1) L’environnement peut présenter une double contrainte sur la croissance : la contrainte géologique et la contrainte climatique
- Une contrainte géologique liée à la rareté des ressources naturelles et les dégâts portés à l’environnement : c’est la question des ressources fossiles, des terres rares, de l’eau, etc. Or la forte volatilité des prix des matières premières, soumis à des équilibres multiples, risque de pénaliser la croissance notamment pour les pays dont l’économie est axée sur les matières premières (ex : Russie, Arabie Saoudite)
- Une contrainte climatique, c’est-à-dire le caractère irréversible des conséquences du réchauffement climatique et les dégâts causés par l’environnement : tu peux citer les chiffres dans le rapport du GIEC sur les effets de l’activité humaine sur le dérèglement climatique.
2) Ces contraintes sont d’autant plus préoccupantes que les biens publics environnementaux sont sujets à de nombreuses défaillances de marché.
Dans ce paragraphe tu développes les théories sur les externalités négatives et le sous-financement des biens publics.
- Une sous-tarification des ressources et externalités négatives : les comportements des entreprises, des ménages et du secteur public n’intègrent pas spontanément le coût des dommages qu’ils causent à l’environnement, et très imparfaitement la rareté future des énergies et des matières premières ;
- Or les tentatives de préserver les biens publics mondiaux tels que l’environnement se heurtent à des comportements sous-optimaux : l’initiative privée est défaillante dans la mesure où les bénéficiaires de biens publics purs sont en mesure de se comporter en « passager clandestin » ; de même les biens commun en accès libre sont menacés de surexploitation, c’est la « tragédie des biens communs » (Hardin, 1968), comme en atteste l’exemple des pêcheries
Nous apprécions votre temps sur notre site. N'hésitez pas à revenir si vous avez d'autres questions ou besoin de précisions. Nous apprécions votre temps. Revenez quand vous voulez pour obtenir les informations les plus récentes et des réponses à vos questions. Revenez sur Laurentvidal.fr pour obtenir les réponses les plus récentes et les informations de nos experts.