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Bonjour quelq'un pourrais m'aider pour mon Devoir type brevet
«la courbe de tes yeux»
c'est très urg*ent j'ai été malade et j'ai pas eu le temps de le faire merci a ceux qui pourraient m'aider. Voilà le poème en photo et les questions :
Dans la première strophe relever 2 type d'expansions du nom donné leur nature et leur fonction
dans la dernière strophe relevez les compléments circonstanciels et donner leurs circonstances et leur nature
réécrivez le les vers suivent en commençant par «Paul Éluard affirmé à Gala que»et en faisant toutes les modifications nécessaires

La courbe de tes yeux fait le tpur de mon cœur [...] et si je ne sais pas tout ce que j'ai fait que c'est parce que tes yeux ne m'ont pas toujours vu​

Bonjour Quelqun Pourrais Maider Pour Mon Devoir Type Brevet La Courbe De Tes Yeux Cest Très Urgent Jai Été Malade Et Jai Pas Eu Le Temps De Le Faire Merci A Ceu class=

Sagot :

Réponse :

1. La courbe de tes yeux : courbe, nom féminin singulier, de tes yeux, nom commun masculin pluriel, complément du nom courbe

le tour de mon cœur, tour, nom commun féminin singulier, de mon coeur, complément du nom tour

2. sur la paille des astres : complément circonstanciel de lieu

dans leurs regards : complément circonstanciel de lieu

3. Réécriture :

Eluard a affirmé à Gala que la courbe de ses yeux faisait le tour de son coeur, un rond de danse et de douceur, auréole du temps, berceau nocturne et sûr et s' il ne  savait plus tout ce qu'il avait vécu, c'est que ses yeux ne l'avaient pas toujours vu.

Explications :

La Courbe de tes yeux

La courbe de tes yeux fait le tour de mon cœur,

Un rond de danse et de douceur,

Auréole du temps, berceau nocturne et sûr,

Et si je ne sais plus tout ce que j'ai vécu

C'est que tes yeux ne m'ont pas toujours vu.

Feuilles de jour et mousse de rosée,

Roseaux du vent, sourires parfumés,

Ailes couvrant le monde de lumière,

Bateaux chargés du ciel et de la mer,

Chasseurs des bruits et sources des couleurs,

Parfums éclos d'une couvée d'aurores

Qui gît toujours sur la paille des astres,

Comme le jour dépend de l'innocence

Le monde entier dépend de tes yeux purs

Et tout mon sang coule dans leurs regards.

Paul ELUARD, Capitale de la douleur, (1926)