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Bonjour, j'ai comme devoir de raconter un souvenir d'enfance à partir d'une sensation en précisant les circonstance quand le souvenir apparaît, décrire la sensation éprouvé et en n'oubliant pas d'insister sur le sentiments éprouvé. J'ai fais ça, est-ce bien ou c'est pas vraiment sa (je doit avoir aussi plein de faute alors pouvez vous m'aidez)


En revenant un du collège, comme à mon habitude je regardais mon téléphone pour regarder mes divers message avant d’appeler mes parents pour les prévenir que j’étais en train de rentré à la maison. A mon étonnement, je reçus en notification de « cette personne » qu’au part avant j’aimais plus que ma propre vie était en train d’écrire. A ce moment-là, ma respiration s’arrêta, j’eu l’impression que le temps s’arrêta avec, c’est comme si on m’avait donné un énorme coup dans le cœur en y fessant pression. La crise d’angoisse me montait petit à petit, sa faisait si longtemps que je ne lui avais pas parlé, les séquelle était encore trop fragile. Je me précipitais tellement vite dans les escalier pour monter chez moi que j’en tombai presque, fallait je me change les idées j’en avait du mal à respirer et je tremblais comme si quelqu’un à l’intérieur de mon corps me secouer. Puis je me suis rappeler que les infirmière m’avait dit de change d’air pour arrêter ma crise d’angoisse et de faire quelque chose que j’aime ou de me rappeler un souvenir joyeux alors j’ai pris mon enceinte pour mettre « say you won’t let go », brancher mon projecteur galaxie, mis de l’eau chaude à couler dans la baignoire et j’y suis rentré, j’ai fermé les yeux en prenant la plus grosse inspiration qui soit. Et d’un seul coup, à l’instant même où je mis ma tête dans l’eau, c’est comme si j’avais changé d’univers, je me retrouvé là dans cette plage que j’ai tant aimée, les frisson me gagnaient en passant par tous mon corps comme une vague en me rappelant ce souvenir.

C’était fin août 2020, nous étions à Nice avec ma famille, cette plage avait quelque chose que les autres n’avait pas. Ce petit côté, magique. On était à la toute fin de la place des anglais, c’était beaucoup plus seule et mieux étant donnée la distanciation du Covid-19. Mes parents déposer nos affaires, transat, serviette et parasol. La plage était si calme qu’elle donné un air apaisant, il devait y avoir pas moins de 10 personne sur la plage et par cette chaleur de 30°, ma sœur et moi avions qu’une envie c‘est de ce baignait donc on a mis notre crème solaire et on a couru sur les cailloux brulant pour rentrer dans l’eau. L’eau étai bleu turquoise, tellement clair qu’on pouvait y apercevoir les petits poissons autour. A ce moment là j’avais l’impression que rien ne pouvait m’arriver (à part le faîte qu’un tsunami vienne sur moi et me noie), je regardais ma famille depuis ma grosse bouée licorne qui faisait de fois ma taille, je me sentais parfaitement bien, mes problèmes n’avait pas d’importance, j’apprécié juste ce bon moment. Mon visages brillait à cause des larmes qui commençaient à tomber sur mon visage, je demander au ciel de me ramener à ce moment si précieux…

Sagot :

Ton texte est très beau.
Je t’ai corrigé les fautes et syntaxes mais je n’ai rien touché à l’esprit de ton récit

En revenant un du collège, comme à mon habitude je regardais mon téléphone pour vérifier mes divers messages avant d’appeler mes parents pour les prévenir que j’étais en train de rentrer à la maison. A mon étonnement, je reçus une notification m’indiquant qu’une personne que j’avais aimé dans un passé proche plus que ma propre vie était en train d’écrire.
ma respiration s’arrêta et j’eu l’impression que le temps s’était arrêté avec elle.
c’était comme si on m’avait donné un énorme coup dans le cœur qui m’oppressait .
La crise d’angoisse montait petit à petit.
Cela faisait si longtemps que je ne lui avais pas parlé, les séquelles étaient encore trop présentes et je le sentais fragile.
Je me précipitais tellement vite dans les escaliers de mon domicile que j’en tombais presque.
Il fallait je me change les idées, j’éprouvais des difficultés à respirer et je tremblais comme si quelqu’un à l’intérieur de mon corps me secouait.
Puis je me suis rappelé que les infirmières m’avaient conseillé de changer d’air pour arrêter ma crise d’angoisse et de faire quelque chose qui me plaise ou encore de me rappeler un souvenir joyeux.
Alors j’ai pris mon enceinte pour mettre « say you won’t let go », branché mon projecteur galaxie, mis de l’eau chaude à couler dans la baignoire et je m’y suis plongée.
j’ai fermé les yeux en prenant la plus grosse inspiration qui soit. Et soudain, à l’instant même où je mis la tête dans l’eau, j’eus le sentiment d’avoir changé d’univers, je me retrouvais là dans cette plage que j’avais tant aimée, les frissons me gagnaient en passant par tout mon corps comme une vague en me remémorant ce souvenir.

C’était fin août 2020, nous étions à Nice avec ma famille, cette plage avait quelque chose que les autres n’avaient pas. Ce petit côté, magique.
On était tout au bout de la promenade des anglais, plus seuls et isolés étant donné la distanciation recommandée dans cette période de la Covid-19.
Mes parents déposaient nos affaires, transat, serviette et parasol.
La plage était si calme qu’elle donnait un air apaisant, il ne devait pas y avoir pas plus de 10 personne sur la plage et par cette chaleur de 30°, ma sœur et moi n’avions qu’une envie celle de se baigner.
Nous avons donc mis notre crème solaire et couru sur les cailloux brulants pour rentrer dans l’eau.
L’eau était bleu turquoise, tellement claire qu’on pouvait y apercevoir les petits poissons dedans.
A ce moment précis j’avais l’impression que rien ne pouvait m’arriver (à part le fait qu’un tsunami vienne sur moi et me noie), je regardais ma famille depuis ma grosse bouée licorne qui faisait deux fois ma taille, je me sentais parfaitement bien, mes problèmes n’avaient pas d’importance, j’appréciais simplement ce bon moment.
Mon visage brillait à cause des larmes qui commençaient à tomber sur mon visage, je demandais au ciel de me ramener à ce moment si précieux…
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