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bonjour, si il y en a qui ont lu les 16 métamorphoses d'Ovide, j'aurais besoin de votre aide car jai perdu mon livre. il me faudrait les textes suivant : les métamorphoses d'Io, la course de phaeton, narcisse au borde de l'eau, et un concours de tapisserie : pallas et arachne.
merci​

Sagot :

Réponse:

Les métamorphoses d’Io

Io, nymphe et fille du fleuve d’Inachus, se promenait un jour dans la forêt. Jupiter la vit et lui fit des avances. Il lui propose ensuite de venir avec lui. La belle nymphe part en courant mais Jupiter assombri le ciel pour l’empêcher de fuirent. Junon, remarquant l’absence de son époux et voyant des nuages couvrirent le ciel, elle décide de partir à la recherche de Jupiter vers les nuages. Celui-ci, l’entendant arriver, transforme la belle Io en génisse. Puis Junon arriva et la vit : « Comme elle est belle ! Mon cher époux, fais-m’en cadeau ! » Jupiter accepte. Junon la fait alors garder par Argus, le géant aux cent yeux. Jupiter fit appel à Mercure, son fils, pour tuer Argus. Mercure prit alors une flûte de Pan et endormit le géant puis lui trancha la tête. Junon, ayant tout découvert sur la trahison de son époux, pique la génisse avec un aiguillon invisible. Jupiter lui promet alors qu’il ne jettera plus de regard sur Io. Celle-ci a retrouvé son apparence normal et vit maintenant avec son fils Epaphus en Egypte.

métamorphose dans la course de Phaeton

Phaéton était le fils de Phébus, le dieu soleil. Mais son ami, Epaphus, le fils d’Io, ne le croyait pas. Phaéton demanda alors à sa mère de lui dire si ce qu’elle lui disait depuis longtemps était vrai.

Elle lui répondit : « Si je mens, qu’il cesse de m’éclairer ! …. Mais va donc le trouver, Phébus, ton père. »

Phaéton, heureux, alla voir le soleil. Celui-ci, en le voyant, lui demanda :

»Qu’est-ce que tu es venu chercher ? Dis, Phaéton, mon enfant ?

-Toi qui te dis mon père, donne-moi un preuve. -Demande-moi ce que tu veux, je te l’accorderai. -Puisqu’il en ai ainsi, prête-moi ton char et laisse moi le conduire à travers le ciel.

Son père le prévenu de tout les dangers et lui pria de choisir autre chose. Phaéton ne l’écouta pas. Le lendemain, à l’aube, Phaéton partit sur le char, tiré par des chevaux. Au cours du sentier, les chevaux changèrent de chemin. A cause des rayon du soleil que portait Phaéton, les fleuves séchèrent et la terre prit feu. Jupiter, voyant le désastre, foudroya Phaéton et le soleil reprit les commandes du char, malheureux.

Narcisse au bord de l’eau

Liriopé, après avoir mit un magnifique enfant au monde, consulta un devin et lui demanda si son fils, Narcisse allait vivre de longues années heureuses. Le devin répondit : »Il vivra tant qu’il ne se connaîtra pas. » Personne ne connaissait le sens de ses paroles. Quelques années plus tard, quand Narcisse avait 16 ans, il fut un très bel homme dont toute les filles, au premier regard, tombaient amoureuse. Un jour, Narcisse se promenait dans la forêt, il avait terriblement soif. Il s’arrêta au bord de l’eau et vit son reflet. Il tomba tout de suite amoureux sans même savoir que s’était lui. Il resta là, accroupit au bord de l’eau à se contempler pendant quelques jours. Mais il commençait à s’affaiblir, et il se rendit compte que s’était lui. Il se mit alors à pleurer puis mourra de fatigue et de faim.

Un concours de tapisserie Pallas et Arachné

Arachné, une mortel, très habile à filer et à tisser que les nymphes aimait regarder faire, vivait en Lydie. Un jour, une nymphe lui dit qu’on reconnaissait en elle l’élève de Pallas (elle aussi très habile). Arachné répliqua, vexée : « Puisque Pallas est ma rivale, qu’elle vienne se mesurer à moi…On verra bien qui gagnera ! » Pallas entendit Arachné, se déguisa en vielle femme la prévenue qu’il serai plus sage de lui demander pardon. Arachné lui répondit alors : « Pauvre vieille ! Tu as perdu l’esprit ! Puisque je l’appelle, pourquoi la déesse ne vient pas en personne ? Craint-elle de concourir avec moi ? » Pallas reprit son apparence habituelle et les deux femmes concoururent alors. Elles firent de belles œuvres. Pallas, pleine de dépit, en voyant l’ouvrage de Arachné, le déchira et la frappa au visage. Arachné se pend puis la déesse avant de partir, grâce à un liquide, transforme la malheureuse en araignée. Arachné est alors condamné à tisser jusqu’à la fin de ses jours.

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