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Bonjour es ce que vous pourriez m'aider a ce devoir d'anglais svp je n'arrive pas du touuuuut svppppppppppp. Merci a ceux qui maide.





The Wrong Category Part 2

He liked to go and look at the places where the bodies of the victims had been found. It brought1 him a thrill of danger and a sense of satisfaction. The first of them had been strangled very near his home on a path2 which first passed between draggled allotments, then became an alley3 plunging between the high brown wall of a convent and a lower red brick wall of a school.

Barry took this route to the livelier part of the town, walking rapidly but without fear
and pausing at the point – a puddle4 of darkness between lamps – where the one they called Pat Leston had died. It seemed to him, as he stood there, that the very
atmosphere, damp, dismal, and silent, breathed evil and horror of the act. He appreciated it, inhaled it, and then passed on to seek5 , on the waste ground, the
common, in a deserted back street of condemned houses, those other murder scenes. After the last killing they had closed the underpass6 , and Barry found to his
disappointment that it was still closed.

He had walked a couple of miles and had hardly seen a soul. People stayed at home.
There was even some kind of panic, he had noticed, when it got to six and the light was fading and the buses and tube trains were emptying themselves of the last commuters.7 In pairs they scurried. They left the town as depopulated as if a plague8 had scoured it.

Entering the high street, walking its length, Barry saw no one, apart from those
protected by the metal and glass of motor vehicles, but an old woman hunched on a step. Bundled in dirty clothes, a scarf over her head and a bottle in her hand, she was safe as he – as far, or farther, from the right category.

But he was still on the watch. Next to viewing the spots where the six had died, he best enjoyed singling9 out the next victim. No one, for all the boasts of the newspapers and the policemen, knew the type as well as he did. Slight and small boned, long-legged, sway backed, with huge eyes, pointed features, and long dark hair. He was almost sure he had selected the Italian one as a potential victim some two weeks before the event, though he could never be certain.

Questions
1) How many people had died so far?
2) What did the victims have in common?
3) Were there people in the streets? Why?
4) Why was the old woman safe according to Barry?
5) What is surprising or disturbing about Barry’s behavior?


Sagot :

Réponse:

La mauvaise catégorie Partie 2 Il aimait aller voir les endroits où les corps des victimes avaient été retrouvés. Cela lui apportait un frisson de danger et un sentiment de satisfaction. Le premier avait été étranglé tout près de chez lui sur un chemin2 qui passait d'abord entre des lotissements traînés, puis devenait une ruelle3 plongeant entre le haut mur brun d'un couvent et un mur inférieur de briques rouges d'une école. Barry a emprunté cette route vers la partie la plus animée de la ville, marchant rapidement mais sans crainte et s'arrêtant au point - une flaque4 d'obscurité entre les lampes - où celui qu'ils appelaient Pat Leston était mort. Il lui semblait, alors qu'il se tenait là, que le très l'atmosphère, humide, lugubre et silencieuse, respirait le mal et l'horreur de l'acte. Il l'apprécia, l'inhala, puis passa chercher5, sur le terrain vague, le communes, dans une ruelle déserte de maisons condamnées, ces autres scènes de meurtre. Après le dernier meurtre, ils avaient fermé le passage souterrain6, et Barry trouva son déception qu'il était toujours fermé. Il avait marché quelques kilomètres et avait à peine vu une âme. Les gens sont restés à la maison. Il y avait même une sorte de panique, avait-il remarqué, quand il était arrivé à six heures et que la lumière s'éteignait et que les bus et les trains de métro se vidaient des derniers navetteurs7. Deux par deux, ils se précipitaient. Ils ont laissé la ville aussi dépeuplée que si un fléau8 l'avait récurée. Entrant dans la rue principale, marchant sur toute sa longueur, Barry ne vit personne, à part ceux protégé par le métal et le verre des véhicules automobiles, mais une vieille femme penchée sur une marche. Emballée dans des vêtements sales, un foulard sur la tête et une bouteille à la main, elle était en sécurité comme lui - aussi loin, ou plus loin, de la bonne catégorie. Mais il était toujours aux aguets. En plus de voir les endroits où les six étaient morts, il aimait mieux distinguer9 la prochaine victime. Personne, malgré toutes les vantardises des journaux et des policiers, ne connaissait le type aussi bien que lui. Léger et petit désossé, à longues pattes, dos balancé, avec de grands yeux, des traits pointus et de longs cheveux noirs. Il était presque sûr d'avoir choisi l'Italien comme victime potentielle environ deux semaines avant l'événement, bien qu'il ne puisse jamais en être certain.

Voici les questions auxquelles tu doit répondre grâce à ce texte ci-dessus :

questions 1) Combien de personnes sont mortes jusqu'à présent? 2) Qu'ont en commun les victimes? 3) Y avait-il des gens dans les rues? Pourquoi? 4) Pourquoi la vieille femme était-elle en sécurité selon Barry? 5) Qu'est-ce qui est surprenant ou dérangeant dans le comportement de Barry?

Explications:

Bonjour, je t'ai traduit le texte et les questions en français pour que sa soit beaucoup plus facile pour toi .

Au revoir et bonne journée !

J'espère sincèrement t'avoir aider.

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