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Bonjour j'ai besoin d'aide pour cette redaction svp
à vos plumes à la cour du roi Arthur un chevalier raconte le combat qu'il vient de mener contre un chevalier et c'est horrible complice employé le présent de l'indicatif pour rendre son récit plus vivant

Sagot :

Réponse :

Je cavalais sur mon cheval blanc, glissant sur ma selle mouillée par l'averse qui continuait de se déchaîner, cherchant mon chemin vers l'épais brouillard qui se formait devant moi. Il fait froid, et le silence qui régnait me fait frémir d'ennui. La seule chose que j'attend est l'arrivée de ce mystérieux chevalier, m'ayant menacé de me trancher la gorge de sa brillante épée. Le ciel commence à être noir. Je me doute que ce chevalier, surement un écuyer en vérité, n'allait pas assumer ses paroles et ne pas venir au lieu de rendez-vous.

Tout d'un coup, je vois là un grand homme à l'armure grise, vêtu d'un heaume pointu et d'une cuirasse épaisse. Un gorgerin préservait son cou et son cheval noir était tout aussi bien protégé par une barde et un chanfrein bleu. il me regarda à travers son fin voile transparent, et sortit une épée argentée au bout  long et extrêmement pointu en me faisant signe de commencer le combat. Son cheval s'avança lentement vers moi, et son cavalier cria de toute ses forces avant de lancer un coup sec sur la côte de mon équidé. Je prend alors ma propre épée grisâtre et déchire le barde de crinière son cheval. Ce dernier   leva les sabots au soleil et hennit avant de s'abattre sur moi. Mon adversaire prend tout son élan avant de trancher le long cou de mon animal, qui ébroue alors de souffrance. Le sang dégoulinait sur l'herbe et les gouttes d'eau se mélangeaient avec celles du sang, formant un mélange marrônatre. Avec effroi, je m'abat sur lui et avec une extrême force, découpe la moitié de la joue de mon adversaire, entraînant avec toute sa protection. Il hurle de douleur, et je vois sa langue à moitié découpée sur son palais, et un sang de couleur noire recouvrant ses dents, prêtes à tomber. Je profite alors du moment de souffrance de mon ennemi pour abattre sur son crâne dégarni un coup d'épée violent. Cette dernière, refusant de s'enlever, j'enfonce avec plaisir la lame rougeoyante plus bas, entendant les supplications du chevalier. Je retire mon arme et vis avec bonheur qu'il souffre, ses deux mains essayant de retenir le sang qui en coulait.

Apres à toi d'imaginer la suite

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tu as cru

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