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Écrire un texte biographique au présent de narration sur pasteur
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Sagot :

Réponse:

je m'appelle Louis Pasteur

Je suis né le 27 décembre 1822 à Dole dans le Jura

A mes cinq ans,mes parents ont déménagé dans la petite ville d' Arbois

C'est là que je vais passer mon enfance et ma scolarité.

Très tôt je fais preuve d'un grand intérêt pour les leçons qui me sont enseignées et mes capacités intellectuelles et ravissent mes professeurs.

Après des études au collège de Besançon, j'espère intégrer l'école normale supérieure de Paris.

La tâche est dure mais après quelques années de préparation me permettent d'atteindre mon objectif et de me consacrer pleinement à chimie et à la physique.

Mon attention se fixe plus particulièrement sur la cristallographie, qui devient le sujet de ma thèse.

Ainsi je pose les fondements de la stéréochimie.

Couronné de succès, j'obtiens un poste de professeur à Dijon.

J'enseigne ensuite à Strasbourg avant d'être nommé doyen et professeur de chimie à la nouvelle université de sciences à Lille. Dans le cadre de mes nouvelles fonctions, j'entame des recherches sur le processus de fermentation et je fais une découverte de grande ampleur : je prouve que les levures sont des microorganismes responsables du phénomène.

Je montre également que l'acidité du vin est causée par certaines bactéries.

En 1857, lle poste d'administrateur de l'école normale supérieure m'est proposé. Sans hésiter je quitte Lille pour Paris.

Passionné et déterminé je pousse encore plus loin mes recherches qui m'amènent à la conclusion que la théorie de génération spontanée ne peut s'appliquer au phénomène de fermentation. Je pense en effet que les microorganismes qui en sont la cause possèdent une origine concrète et ne naissent donc pas de manière spontanée. Une controverse avec Félix Archimède Pouchet va naître, s'intensifier et se terminer plusieurs années plus tard, en 1864, lorsque je prouve la véracité de mes propos lors d'une conférence à la Sorbonne.

Alors que je poursuis en parallèle mes études sur l'acidité du vin et de la bière. Je mets au point la méthode de pasteurisation. Très impliqué dans mes recherches, je fais preuve d'un autoritarisme mal accepté. Je vois alors mon poste supprimé. Je pars à Alès où j'étudie la pébrine, maladie des vers à soie qui devient de plus en plus inquiétante pour les producteurs français.

Durant quatre ans je m'efforce de trouver le moyen de mettre fin à l'épidémie avant qu'elle ne detruise l'industrie française de la soie. Je découvre finalement le caractère heriditaire de la maladie et je mets ainsi au point un système pour l'empêcher de se propager. Dès lors je consacre toute mon attention sur les maladies infectieuses. En 1870 je me consacre à l'étude de la bière pour clore mes études sur la fermentation.

Après la publication de mon ouvrage Études sur la bière et les conseils aux brasseurs, je tente la politique sans succès.

Je me penche alors sur les travaux du Dr Koch et la bactérie du charbon. En 1880, je découvre le staphylocoque et je redouble d'intérêt pour les maladies infectieuses et les épidémies, je m'intéresse aux infections animales comme le choléra des poules, le charbon du mouton et le rouget du porc. Avec Félix Roux je découvre qu'après une injection du microbe atténué du choléra aux poules ces dernières nattrapent pas la maladie.

Elles résistent même. Je fais de même avec les moutons. C'est une réussite qui m'encourage à continuer avec la rage qui se situe dans le système nerveux. j'obtiens une forme affaiblie du virus que j'inoccule avec succès aux animaux. Mais j'hésite à l'innoculer à l'humain.Le 6 juillet 1885, un jeune alsacien mordu par un chien enragé frappe à ma porte de mon laboratoire. Je tente et l'enfant est sauvé.

De ce formidable succès naîtra l'institut Pasteur en 1888,. Je dirigerais cet institut jusqu'à mon dernier souffle