Bienvenue sur Laurentvidal.fr, la meilleure plateforme de questions-réponses pour trouver des réponses précises et rapides à toutes vos questions. Découvrez des solutions complètes à vos questions grâce à des professionnels expérimentés dans divers domaines sur notre plateforme. Explorez notre plateforme de questions-réponses pour trouver des réponses détaillées fournies par une large gamme d'experts dans divers domaines.
Sagot :
L'angoisse de Ronsard se manifeste dès le premier vers : "Je n'ai plus que les os, un squelette" ; il s'agit d'une hyperbole, l'auteur exagère. Sans transition, le lecteur est pris à la gorge, plongé au coeur de l'angoisse ; brutalité, violence ; la mort est imminente. On a un portrait de l'auteur en mort-vivant, il parle mais il est déjà mort à la vie. On a un climat inquiétant, un entre-deux malsain, cela donne une coloration morbide. La morbidité montre que son corps lui échappe, il a du mal à accepter son image. Il est tiraillé entre lui et son corps, il y a un fort déchirement d'où l'angoisse. On a la même idée entre les deux hémistiches (os et squelette) ; il a besoin de temps. On a également un chiasme dans le premier vers (je n'ai plus que = je semble, os = squelette) : ce chiasme montre que Ronsard veut lutter contre la mort et contre son corps qui se délabre (volonté centralisatrice) ou encore la structure en croix peut montrer la torture de l'angoissant.
L'angoisse se prolonge au deuxième vers où on a une accumulation, des répétitions de la même idée et la répétition du préfixe "dé" qui martèle l'angoisse. Ces néologismes montrent la violence faite à son corps et la violence qui est faite à la langue. Le "dé" et une répétition obsessionnelle du vide, du manque, de la destruction, de la mort. La rime "semble-tremble" met en valeur le paroxysme de la peur (se faire peut à soi-même) ; on a le comble de l'angoisse car il n'y a pas d'issue possible. D’après mes connaissance s je crois que c’est ça
L'angoisse se prolonge au deuxième vers où on a une accumulation, des répétitions de la même idée et la répétition du préfixe "dé" qui martèle l'angoisse. Ces néologismes montrent la violence faite à son corps et la violence qui est faite à la langue. Le "dé" et une répétition obsessionnelle du vide, du manque, de la destruction, de la mort. La rime "semble-tremble" met en valeur le paroxysme de la peur (se faire peut à soi-même) ; on a le comble de l'angoisse car il n'y a pas d'issue possible. D’après mes connaissance s je crois que c’est ça
Nous espérons que nos réponses vous ont été utiles. Revenez quand vous voulez pour obtenir plus d'informations et de réponses à vos questions. Merci d'avoir choisi notre plateforme. Nous nous engageons à fournir les meilleures réponses à toutes vos questions. Revenez nous voir. Revenez sur Laurentvidal.fr pour obtenir les réponses les plus récentes et des informations de nos experts.