Obtenez les meilleures solutions à vos questions sur Laurentvidal.fr, la plateforme de Q&R de confiance. Trouvez des solutions rapides et fiables à vos interrogations grâce à une communauté d'experts dévoués. Rejoignez notre plateforme pour obtenir des réponses fiables à vos interrogations grâce à une vaste communauté d'experts.

Bonjour , pouvez vous me décrire l’habillement et les habitudes de vie en 1850/60 svp merci

Sagot :

Réponse :

Pour les femmes leurs tenues :

Les corsets sont toujours portés sur les épaules et décorés de jabot ou de dentelle, et ne peuvent être associés qu'à des robes en soie ou en toile.

Le haut de la manche est large, le bas est large et l'ourlet est large, ce qui vous permet de poser la dentelle pour mettre en valeur les compétences de la main gantée.

Vers 1856, le soi-disant jupon est apparu, remplaçant progressivement le jupon, donnant à la jupe un aspect extravagant.

Pour les hommes leurs tenues :

Le port de vêtements noirs est la règle: la veste a une coupe large et une cravate blanche jusqu'au col de la chemise. Le gilet est droit et décoré de boutons. Le pantalon étroit tombait directement sur les bottes en cuir verni. Ils se portent tous sur des petites vestes ou des hauts courts à manches larges.

Le chapeau porte un bord évasé et des renflements droits sur le côté.

Leurs habitudes de vie :

Les conditions de vie des agriculteurs sont particulièrement instables. Elle suffit simplement parce que la hausse des prix des céréales (qui forment la base du régime alimentaire universel) et les gains de prix attendus des «ouvriers» (ceux qui n'ont rien et louent une maison) sont suffisants. Le régime alimentaire des fermiers de famine est monotone et instable. Ils mangeaient de la bouillie de céréales et de la soupe aux légumes, surtout du pain, très peu de viande, presque uniquement du porc. Dans les villes, les pauvres vivent principalement de pain. Par conséquent, une augmentation soudaine du prix du pain suffit à éclater et à voler la boulangerie. Le régime alimentaire de la classe supérieure varie considérablement. Ils ont des besoins culinaires, et souvent des chefs célèbres (connus sous le nom de «bouche à oreille») leur fournissent une cuisine exquise et variée.La table des nobles ou des financiers de la haute bourgeoisie découvre alors quelque chose de similaire à ce qu'on appelle aujourd'hui les «nouveaux plats»: le goût des produits authentiques. Le banquet traditionnel déguisé comme incompréhensible lors du banquet offrait des plats traditionnellement complexes et spectaculaires, mais le goût des produits naturels a été découvert au 18ème siècle. Paris devient une capitale gastronomique à la Révolution et ouvre son premier «grand restaurant» (dans le quartier du palais), ce restaurant est tenu par les «gueules» des grands nobles dont l’immigration des propriétaires les met au chômage.Se baigner ou se doucher est presque impossible et le système de plomberie n'existe pas. Dans les zones rurales, selon la saison, les agriculteurs peuvent utiliser l'eau du ruisseau pour laver leurs affaires. En ville, même dans la classe supérieure, nous mettons des pommades sur nos corps et masquons l'odeur avec du parfum. Mais il n'y a ni douche ni baignoire. Le bain s'est répandu parmi la bourgeoisie au XIXe siècle. Le premier groupe de femmes qui a commencé la mode et se baignait régulièrement dans la recherche d'une hygiène plus stricte était «Demi Mengdan». Et progressivement développé dans la classe supérieure.

Voila j'espére que cela t'aideras

Revenez nous voir pour des réponses mises à jour et fiables. Nous sommes toujours prêts à vous aider avec vos besoins en information. Nous apprécions votre visite. Notre plateforme est toujours là pour offrir des réponses précises et fiables. Revenez quand vous voulez. Merci d'utiliser Laurentvidal.fr. Continuez à nous rendre visite pour trouver des réponses à vos questions.