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Bonsoir, aidez moi svp à faire une dissertation .

Pour mieux comprendre la relation entre Réseaux sociaux et Démocratie participative, commencez d'abord par définir les termes suivants:


1. Démocratie


2. Démocratie participative et démocratie représentative.


3. Démocratie participative et Réseaux sociaux: Quelle relation? N'oubliez pas que dans cet Axe 4 on traite la relation entre les mondes virtuelles et citoyenneté.


Le terme démocratie nous renvoie au domaine politique: à qui et à quoi doit-on penser? Pour quelles raisons?




Merci d'avance !

Sagot :

Démocratie: Forme de gouvernement dans laquelle la souveraineté appartient au peuple ; État ainsi gouverné.

Démocratie participative: La démocratie participative est une forme de partage et d'exercice du pouvoir, fondée sur le renforcement de la participation des citoyens à la prise de décision politique.

démocratie représentative: La démocratie représentative, le gouvernement représentatif ou le régime représentatif est un système politique dans lequel on reconnaît à une assemblée restreinte le droit de représenter un peuple, une nation ou une communauté.

La question des liens, ou des ruptures, entre le développement de dispositifs institués de participation et les mobilisations sociales et politiques constitue aujourd’hui encore un domaine contrasté et relativement peu exploré. Peut-on retracer des filiations, et de quel ordre, entre les mobilisations des années 1960 pour des formes démocratiques plus participatives et les dispositifs actuels ? S’agit-il plutôt de deux mouvements déconnectés, dont la seule continuité nominale (le fait que tous deux se réfèrent à la notion de démocratie participative) ne devrait pas faire illusion ? Dans les conditions contemporaines, peut-on envisager ces relations comme des relations de complémentarité, d’enrichissement réciproque, ou au contraire, le développement d’une démocratie participative « officielle » présente-t-il des risques pour les mobilisations ? Ces questionnements ne doivent-ils pas conduire, finalement, à penser autrement les relations entre « institutions » et « mouvements sociaux », y compris sous la forme d’une autonomie réciproque ?