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Bonsoir, pouvez vous me dire une problématique pour le poème ci-dessous ''Bêtise de la guerre'' Victor Hugo :
Ouvrière sans yeux, Pénélope imbécile,

Berceuse du chaos où le néant oscille,

Guerre, ô guerre occupée au choc des escadrons,

Toute pleine du bruit furieux des clairons,

Ô buveuse de sang, qui, farouche, flétrie,

Hideuse, entraîne l’homme en cette ivrognerie,

Nuée où le destin se déforme, où Dieu fuit,

Où flotte une clarté plus noire que la nuit,

Folle immense, de vent et de foudres armée,

A quoi sers-tu, géante, à quoi sers-tu, fumée,

Si tes écroulements reconstruisent le mal,

Si pour le bestial tu chasses l’animal,

Si tu ne sais, dans l’ombre où ton hasard se vautre,

Défaire un empereur que pour en faire un autre ?


Victor Hugo

Sagot :

Réponse :

Dans son poème Victor Hugo personnifie la guerre: «  ouvrière sans yeux, Pénélope imbécile »,et du mal,

sur lesquels la dénonciation est montré.Puis au dixième vers il finit la description et commence à fait l'interprétation directe de cette guerre.

Il crée cette rupture avec un vers contenant une coupure à l'hémistiche. Il utilise la conjonction « si » que l'on pourrait interpréter comme une hypothèse, mais c'est une constatation des conséquence de la guerre.

C'est là qu'il utilise les répétitions pour appuyer ses arguments .

Explications :

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