Réponse :
De préférence, prends le sujet 1, car si tu connais un peu le contexte historique qui touche autour du sujet, crois moi que ce sera bien plus facile, moi je cernerais plus les idées au lieu de mettre de façon rédigée directement en ''tas''.
- Mon cher ami, c'est le cœur rempli de tristesse et de haine que je t'écris pour la dernière fois.
- Depuis ton départ pour les Etats-Unis, je dois avouer que je n'ai point fais que des bonnes choses.
- Tu dois savoir que j'ai sombré dans l’alcoolisme et que une fois plongé dans le fin fond des problèmes, il fut difficile pour moi de remonter la pente.
- Je passais mes journées à errer sans peine dans les rues vides, à la recherche de quoi étancher ma soif.
- J'étais devenu la risée de tout mon entourage, et malgré le climat malsain qui régnait dans la région, dans le pays, et qui touchait de plus en plus l'Europe toute entière je ne me souciais guère de cela mais juste de quoi trouver réconfort ....
- J'aimerais que tu n'oublies point ces moments passés ensembles lorsque tu étais à mes côtés. Je me rends compte maintenant comment le temps est passé vite.
- Puis un jour, alors que je touchais le fond et que la mort me guettais à tous les coins de rue, un homme parlant Allemand avec un léger accent, me recueillit chez lui et au fur et à mesure du temps m'aida à sortir la tête de l'eau alors que je m'y noyais.
- Je finis par m'attacher à ce gaillard qui était d'origine Française et qui était un fervent militant contre le Nazisme. C'est lui qui, passant son temps à s'activer secrètement devant mes yeux me donna l'envie de me remettre à faire quelque chose de ma vie.
- C'est ainsi que je devenais au fil du temps moi aussi, une militant pour la bonne cause. Mais, notre activité devenait de plus en plus risquée à engager, et alors que l'on travaillait sur un moyen de mettre fin à la monstrueuse dictature entreprise par Hitler et son régime Nazi, nous fûmes dénoncés à la Gestapo et jugés dans la journée même pour être condamnés à la peine de mort.
- Aujourd'hui, je vais être exécuté dans la journée et je ne ressens point de peur qui m'envahit, au contraire, c'est une fierté, une fierté d'avoir participer à la marche contre l'injustice et le barbarisme qui émane de moi, moi même, je n'aurais pensé un jour, parler comme cela, et même si en grandissant moralement, j'ai commis un acte lourd de conséquences, je ne regrette en aucuns cas toutes les années de mon existence. - C'est sur ces quelques mots d'adieux que je te quittes, pour toujours et même si la mort survient à nous, peut être bien qu'elle à bien ultérieur qui nous ne pouvons mesurer étant vivant.
Cordialement, ton ami Conrad
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