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Sagot :
Je ne suis pas sur, mais:
Je pense que cela ce produira bientôt, car la science est très développée, car elle se développera encore et très bientôt, et car des scientifiques travaillent sur la question de manière très approfondie!
Je ne pense pas que cela se produise bientôt car nous manquons de matériaux, car si on le tentait, cela déclencherai des guerres(en particulier pour le désarmement nucléaire), et en plus du manque de matériel, il y a un manque de moyens!
J’espère avoir aidé!
Je pense que cela ce produira bientôt, car la science est très développée, car elle se développera encore et très bientôt, et car des scientifiques travaillent sur la question de manière très approfondie!
Je ne pense pas que cela se produise bientôt car nous manquons de matériaux, car si on le tentait, cela déclencherai des guerres(en particulier pour le désarmement nucléaire), et en plus du manque de matériel, il y a un manque de moyens!
J’espère avoir aidé!
Réponse:
Au travers des siècles, l’humanité a constamment dû relever des défis à court et à long terme. Son but semble essentiellement toujours le même: Que celle-ci prenne constamment un plus grand contrôle sur sa destiné et son environnement. Pour les sociétés industrialisées, l’ère technologique que nous vivons présentement semble donner un contrôle inégalé par le passé. Le climat, par exemple, qui a plutôt été source de vie et source de défis au quotidien pour la majorité des sociétés semble maintenant être perçu, dans les sociétés industrialisés, comme un simple et vague sujet de discussions ou un problème mineur pour quelques ingénieurs en conception. Au Québec, et ce malgré les avertissements de bon nombre de scientifiques depuis les années 1970, ce sont le déluge du Saguenay de 1996 et la tempête de verglas de janvier 1998 qui ont fortement contribué à ramener les pendules à l’heure. En effet, ces deux événements ont montré que notre société visant efficacité, productivité et optimisation n’a peut-être pas autant de contrôle que prévu sur les impacts du climat. En fait, non seulement cette société efficace, productive et optimisée peut être fortement perturbée par la variabilité naturelle du climat, mais celle-ci contribue activement à aggraver sa vulnérabilité en ajoutant massivement dans l’atmosphère des gaz à effet de serre qui ont déjà commencé à perturber de façon significative un climat qui est en équilibre depuis plus de 10000 ans. La problématique des changements climatiques peut se résumer ainsi : En changeant la composition de l’atmosphère au rythme où elle le fait présentement, l’humanité transforme la planète en une vaste expérience de laboratoire pour laquelle elle a le contrôle sur les paramètres de départ mais a très peu de contrôle sur l’évolution et le résultat final de l’expérience.
résultats de simulateurs utilisés pour élaborer ce tableau, la figure 7 présente l'allure des résultats de l'une des intégrations du Modèle Couplé de Circulation Générale canadien (MCCG1). Bien que le MCCG1 permette d’évaluer les grands patrons de changements climatiques appréhendées pour différentes régions de la planète, l'inclusion de d'autres résultats permet d'offrir un aperçu climatique plus réaliste et illustrant plus adéquatement les incertitudes puisqu'il considère 1) les solutions variées de simulateurs différents 2) les incertitudes liées aux données générées 3) les incertitudes liées à l’évolution réelle de l’atmosphère dans un contexte où le comportement des populations, des économies et des gouvernements est difficile à prévoir ; 4) les incertitudes liées à l’impacts des politiques adoptées ; 5) la nature même de la variabilité climatique, 6) ou même la prise en compte de facteurs ou composantes non-climatiques importantes, etc. Puisque par définition, la notion de l’évaluation de risques nécessite d'examiner une gamme de scénarios tous plausibles, les spécialistes de l'évaluation des impacts potentiels du climat visent de plus en plus l'utilisation d'aperçus tels qu'offerts par le tableau #1 plutôt que des solutions directes d'un simulateur précis. Par contre, puisque les impacts du climat se font généralement sentir à l’échelle régionale ou locale (impacts sur une zone agricole, impacts sur l’habitat d’un nicheur...), les simulateurs du climat avec haute résolution s’avèrent un outil potentiellement très intéressant afin de mieux évaluer les changements climatiques à fine échelle. Au Canada, on commence déjà à utiliser les premiers résultats du Modèle Régional du Climat (MRC) élaboré à l’université du Québec à Montréal..
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