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10 (ACCORDER Récrivez le texte suivant en accordant
les adjectifs et participes passés employés comme
adjectifs.
Un vent (froid) soufflait de la plaine. Le bois était (ténébreux).
sans aucun froissement de feuilles, sans aucune de ces
(vague) et (frais) lueurs de l'été. De (grand) branchages s'y
dressaient affreusement. Des buissons (chétif) et (difforme)
sifflaient dans les clairières. Les (haut) herbes fourmillaient
sous la bise comme des anguilles. Les ronces se tordaient
comme de (long) bras (armé) de griffes cherchant à prendre
des proies. Quelques bruyères (sec), (chassé) par le vent,
passaient rapidement et avaient l'air de s'enfuir avec
épouvante devant quelque chose qui arrivait. De tous les
côtés il y avait des étendues (lugubre).
L'obscurité est (vertigineux). Il faut à l'homme de la clarté,
V. HUGO, Les Misérables, 1862
Aider moi stp... ​


Sagot :

Bonjour

Récrivez le texte suivant en accordant  les adjectifs et participes passés employés comme  adjectifs.

Un vent froid soufflait de la plaine. Le bois était ténébreux  sans aucun froissement de feuilles, sans aucune de ces  vagues et fraiches lueurs de l'été. De grands branchages s'y  dressaient affreusement. Des buissons chétifs et difformes sifflaient dans les clairières. Les hautes herbes fourmillaient  sous la bise comme des anguilles. Les ronces se tordaient  comme de longs bras armés de griffes cherchant à prendre  des proies. Quelques bruyères sèches, chassées par le vent,  passaient rapidement et avaient l'air de s'enfuir avec  épouvante devant quelque chose qui arrivait. De tous les  côtés il y avait des étendues lugubres.  L'obscurité est vertigineuse. Il faut à l'homme de la clarté,

V. HUGO, Les Misérables, 1862

Bonjour,

Un vent (froid) soufflait de la plaine. Le bois était (ténébreux).

sans aucun froissement de feuilles, sans aucune de ces

(vagues) et (fraiches ) lueurs de l'été. De (grands) branchages s'y

dressaient affreusement. Des buissons (chétifs) et (difformes)

sifflaient dans les clairières. Les (hautes ) herbes fourmillaient

sous la bise comme des anguilles. Les ronces se tordaient

comme de (longs) bras (armés) de griffes cherchant à prendre

des proies. Quelques bruyères (sèches ), (chassées) par le vent,

passaient rapidement et avaient l'air de s'enfuir avec

épouvante devant quelque chose qui arrivait. De tous les

côtés il y avait des étendues (lugubres).

L'obscurité est (vertigineuse). Il faut à l'homme de la clarté,

V. HUGO, Les Misérables, 1862

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