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Sagot :
Réponse:
quand les moustiques qui vivent dans les zones non traités se reproduise, il font des moustiques qui on développer des anticorps alors que si ils se reproduisent dans des zones traiter ils n'en ont pas .
Réponse :
L'origine de cette résistance est liée à un nombre de copies du gène codant l'estérase B4 250 fois plus important que celui d'un moustique non résistant à l'insecticide. Elle est donc bien d'origine génétique.
Explications :
D'après le doc. 3 tu observes :
- Pour le gène codant l'estérase A : même nombre de copies chez un moustique résistant ou non à un insecticide (2 copies par génome). Ce n'est donc pas ce gène qui est responsable de la résistance à l'insecticide.
- Pour le gène codant l'estérase B4 : chez le moustique résistant à l'insecticide, le nombre de copies dans son génome est 250 fois plus important que dans le génome du moustique non résistant (500 divisé par 2).
Cela paraît finalement logique : comme c'est l'estérase qui dégrade l'insecticide, plus sa quantité est importante dans l'organisme (car le gène qui la produit est présent en grand nombre dans le génome), plus la dégradation sera rapide, et ainsi le moustique deviendra résistant.
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