Bonjour , j'ai un travail de francais et je n'arrive pas , merci pour ceux qui m'aideront :
Dans les phrases ci-dessous, une proposition subordonnée est entre parenthèses . Pour chaque proposition : 1°) entourez le mot subordonnant et précisez sa nature (conjonction de coordination ou pronom relatif) ; 2°) indiquez le type de subordonnée (conjonctive ou relative) ; 3°) précisez la fonction que possède la subordonnée par rapport à un mot de la principale que vous nommerez («ex. : « C.O.D. du verbe X »,« Complément du nom Y », etc.).

1. "Que vous refusiez ces arguments" n’est pas surprenant.
2. J’apprécie "que mes amis se montrent francs avec moi".
3. Présente-moi la personne "qui t’accompagne".
4. "Comme le train entrait en gare", il aperçut sa femme penchée à la fenêtre.
5. Je veux savoir "si cela est vrai".
6. Dès lors "que tu m’as menti", je ne peux plus avoir confiance en toi.
7. "Qui sème le vent" récolte la tempête.
8. Je m’occuperai de ton problème "si j’en trouve le temps".
9. Il raconte ses malheurs "à qui veut l’entendre".
10. Nous ferons notre possible pour "que vous soyez satisfaits".
Exercice 2 :
Dans les phrases ci-dessous, tirées des Caprices de Marianne et simplifiées, soulignez les verbes conjugués,
délimitez les subordonnées puis identifiez leur nature (relative ou conjonctive) et leur fonction, comme ci-dessus.
1. N'est-ce pas Octave que j'aperçois ?
2. J'allais chez toi quand je t'ai rencontré.
3. S'il regarde en bas, la tête lui tourne ; s'il regarde en haut, le pied lui manque.
4. Toutes les mains tendues autour de lui ne lui feront pas renverser une goutte de la coupe joyeuse qu'il
porte à la sienne.
5. Dis-moi un peu ce qui te manque ?
6. Il me manque la douce insouciance qui fait de la vie un miroir où tous les objets se peignent un instant.
7. L'amour dont vous autres faites un passe-temps trouble ma vie entière.
8. Tous les moyens que j'ai tentés pour lui faire connaître mon amour ont été inutiles.
9. Admettons que je suis reçu chez Claudio.
10. Quand je la vois, ma gorge se serre, et j'étouffe, comme si mon cœur se soulevait jusqu'à mes lèvres.