Bonjour aider moi a répondre a ses question sur ce passage de Pierre et Jean svp.1: Dans quel état d'esprit se trouve Pierre.
2: Montrer que ce passage comprend deux moments distinct. Délimitez-les et donnez un titre à chacun d'eux.
3: Quelle phrase fait la transition entre ces deux passages? Quel est, à votre avis l'intérêt de cette phrase, anodine en apparence?
4: Essayez de proposer une analyse précise de la 1° phrase ( étude linéaire).
5: 2éme phrase: quel sens peut on donner au verbe >? Qu'est ce qui montre l'optimisme de Pierre dans ce passage?
6: Quelles connotations Maupassant donne-t-il à la brume dans la suite du texte?
= relevez précisément les éléments qui la caractérisent (adjectifs, verbes, images, par quelles sensations elle touche Pierre...) et indiquez ce qu'ils évoquent.
Le passage des question:
Pendant trois heures, Pierre, tranquille, calme
et content, vagabonda sur l’eau frémissante,
gouvernant, comme une bête ailée, rapide et
docile, cette chose de bois et de toile qui allait et
venait à son caprice, sous une pression de ses
doigts.
Il rêvassait, comme on rêvasse sur le dos d’un
cheval ou sur le pont d’un bateau, pensant à son
avenir, qui serait beau, et à la douceur de vivre
avec intelligence. Dès le lendemain il
demanderait à son frère de lui prêter, pour trois
mois, quinze cents francs afin de s’installer tout
de suite dans le joli appartement du boulevard
François-Ier.
Le matelot dit tout à coup :
« V’là d’la brume, m’sieur Pierre, faut
rentrer. »
Il leva les yeux et aperçut vers le nord une
ombre grise, profonde et légère, noyant le ciel et
couvrant la mer, accourant vers eux, comme un
nuage tombé d’en haut.
Il vira de bord, et vent arrière fit route vers la
jetée, suivi par la brume rapide qui le gagnait.
Lorsqu’elle atteignit la Perle, l’enveloppant dans
son imperceptible épaisseur, un frisson de froid
courut sur les membres de Pierre, et une odeur de
fumée et de moisissure, l’odeur bizarre des
brouillards marins, lui fit fermer la bouche pour
ne point goûter cette nuée humide et glacée.
Quand la barque reprit dans le port sa place
accoutumée, la ville entière était ensevelie déjà
sous cette vapeur menue qui, sans tomber,
mouillait comme une pluie et glissait sur les
maisons et les rues à la façon d’un fleuve qui
coule.
Aider moi je vous serais très reconnaissant
svp je vous en supplie. AIDER MOI !!!!!! a le faire