Obtenez les meilleures solutions à toutes vos questions sur Laurentvidal.fr, la plateforme de Q&R de confiance. Connectez-vous avec des professionnels prêts à fournir des réponses précises à vos questions sur notre plateforme complète de questions-réponses. Connectez-vous avec des professionnels prêts à fournir des réponses précises à vos questions sur notre plateforme complète de questions-réponses.
Sagot :
Réponse :
1. Cette péripétie suscite l’amusement à la fois par les commentaires du narrateur et l’attitude et les réactions naïves des « polissons ».
2. L’apprenti qui a reçu la pierre pousse « un cri de douleur » (l. 8), ce qui peut suggérer que la pierre n’a pas simple- ment rebondi sur la statue mais qu’elle a effectivement était rejetée avec violence. Le commentaire du narrateur et son « souhait » qu’il qualifie ironiquement de « charitable » ne peuvent sérieusement troubler le lecteur mais au contraire le rassurer.
3. Le narrateur est intérieur, a priori personnage de l’histoire (« je fermai la fenêtre en riant de bon cœur », l. 12).
4. Le narrateur paraît digne de confiance par son statut de scientifique et surtout par son souci de rationalité.
5. Le narrateur identifie d’abord les personnages comme des « apprentis » (l. 4) puis en les considérant comme « [ses] deux polissons », il les caractérise affectueusement. Ils sont présentés comme de gentils garçons naïfs et superstitieux que le narrateur ne prend pas au sérieux. Ainsi, le narrateur refuse d’introduire déjà un doute propre au fantastique.
6. Le cadre est réaliste comme dans toutes les nouvelles fantastiques afin de donner aux événements qui vont suivre un caractère naturel qui sera progressivement mis en doute. 7. La superstition des apprentis peut étonner mais le narrateur souligne leur naïveté. Le seul élément qui puisse réellement étonner, c’est la violence du choc de la pierre sur la tête de l’apprenti.
8. La statue a d’emblée un caractère surnaturel pour les apprentis, qui « [prennent] la fuite à toutes jambes ».
9. Cette certitude est exprimée dans les paroles qu’ils prononcent : « C’est donc toi qui as cassé la jambe à Jean Coll ! » et « Elle me l’a rejetée ».
10. Le narrateur se moque des paroles des apprentis et ne leur accorde aucun crédit.
11. Le narrateur contredit les apprentis par ses propres certi- tudes : « il était évident que la pierre avait rebondi sur le métal » et « en riant de bon cœur », il montre qu’il n’accorde aucun crédit aux affirmations des apprentis. Il éloigne ainsi tous les doutes qui pourraient habiter les lecteurs.
12. Le dernier paragraphe a pour rôle à la fois de donner un caractère rassurant à l’extrait mais aussi de préparer le dénouement de l’action.
1. Cette péripétie suscite l’amusement par les commentaires du narrateur et l’attitude ainsi que les réactions naïves des « polissons ».
2. je sais pas
3. Le narrateur est intérieur, c'est a dire, c'est le personnage principale de l’histoire (regarde la ligne 12)
4. par son statut de scientifique et surtout par son souci de rationalité.
5. jsp
6. jsp aussi
8. pour les apprentis fuyants
9. dans les paroles qu’ils prononcent : « Elle me l’a rejetée ».
10. Le narrateur se moque des paroles des apprentis
11. jsp dsl
12. donner un caractère rassurant à l’extrait + préparer le dénouement de l’action.
Nous espérons que ces informations ont été utiles. Revenez quand vous voulez pour obtenir plus de réponses à vos questions. Merci d'utiliser notre service. Nous sommes toujours là pour fournir des réponses précises et à jour à toutes vos questions. Laurentvidal.fr est là pour fournir des réponses précises à vos questions. Revenez bientôt pour plus d'informations.