Bonsoir, c'est ma réponse pour un exposé que j'avais fait sur le sujet. Je pense que ça peut répondre à la question.
-A l’échelle d’une station, on vise à réduire « les impacts du changement climatique en profitant d’une amélioration du damage et d’une optimisation de la production de neige de culture » afin d’assurer la viabilité de l’exploitation du domaine skiable, on peut citer l’exemple de la station suisse de Leysin. -A l’échelle du territoire, on vise à réduire la dépendance de la destination du tourisme de neige et renforcer l’attractivité du territoire via un élargissement de l’offre touristique, une diversification des pratiques, une valorisation des activités touristiques (VTT, randonnée …). L’un des principaux acteurs c’est le projet AdaMont, collectif contre les impacts du changement climatique et adaptation en territoire de montagne soutenu par l’Institut national de recherche en sciences technologique pour l’environnement et l’agriculture qui vise à protéger les milieux alpins. -A l’échelle international, l’engagement durable a permis la protection de nombreux espaces protégés comme par exemple : des parcs nationaux, des parcs naturels régionaux, le patrimoine mondial naturel de l’Unesco… Leur protection s’effectue majoritairement grâce à la convention alpine, un traité international pour le développement durable et la protection des Alpes ratifié par les pays alpins ; ainsi que par l’Union européenne ; mais également grâce aux villes membres de l’association « Villes des Alpes de l’année » qui sont engagés dans la mise en œuvre de la Convention alpine.
