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Sagot :
Bonsoir !
La nourriture nous procure une sensation de bien-être qui se transforme peu à peu en addiction. Cette dépendance méconnue est souvent assimilée à un état de boulimie. On devient tellement obsédé par cela qu’à peine avoir fini un repas, on programme le suivant et celui encore d’après. On a envie de manger tout ce qui peut être consommé. Encore et encore. C’est en éprouvant de la douleur, de la souffrance, en se sentant plein qu’on peut envisager de s’arrêter. Dans notre tête, la modération nous semble impensable. Après ça on se sent mal, très mal. Parce qu’on sait qu’à cause de ce qu’on vient de faire, de ce plaisir qu’on vient de s’accorder, on va prendre du poids. On a conscience que ces actions auront de nombreuses répercussions physiques et psychologique, qu’afin d’éliminer ce qu’on vient juste d’ingurgiter, il nous faudra des jours et des jours. Mais, ce qui est triste, c’est que même en sachant tout ça, on ne sarrète pas. On se sent vide de l’intérieur, on se sent horrible et on a l’impression que personne ne nous comprend. On s’insulte intérieurement et on réfléchit à la vie qu’on aurait aimé avoir. On se demande pourquoi on n’est pas comme tout le monde, pourquoi on n’est pas simplement normal. Pourtant ce n'est pas compliqué, il suffit juste de s’alimenter trois fois par jour, à des horaires fixes et en quantité raisonnable. Puis on finit par se faire à l’idée que ce genre de choses n’arrive qu’aux autres et pas aux personnes comme nous. On finit par se dire qu’on a le droit de rêver à cette vie, mais pas de la vivre. On finit par se convaincre qu’observer le bonheur des autres nous convient parfaitement, pour qu’au final on restera toujours spectateur, que nous ne serons jamais le personnage principal de l’histoire.
Pour l'avant-dernier, c'est plus compréhensible "ce n'est pas" que "c'est".
Pour le dernier, j'ai rajouté un "pour", car sa me semblait logique.
Bonne soirée ! (les corrigés des fautes sont en gras)
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