Ma prof de Français m'a collé un 8,5/20 en rédaction, j'ai envie que vous me dites si c'est aussi grave, je pleure, je tremble, je compte donner tous mes points si vous m'aidez, cette rédac' a quelques commentaires de la prof aussi...
S : 1,5 (il manque des § et certains ne sont pas adaptés + alinéas plus visibles et à aligner) / E : 2 (attention aux temps!) / C : 3 (une histoire pas très claire en raison d’un style trop familier et souvent confus. Il faut expliquer les choses! Pas de va et vient entre les 2 époques) / L : 2 (un vocabulaire beaucoup trop familier, des groupes de mots sans sens, des phrases pas assez construites : à modifier vraiment car on ne comprend pas ce que tu veux dire au final!).
8,5/20 Insuffisant. Tu as de l’imagination et tu as sûrement voulu faire de l’humour mais cela n’a pas pris car tu ne maîtrises pas assez les subtilités de la langue française. J’ai eu l’impression que tu as plaqué des expressions ou des mots du dictionnaire ??? Viens m’en parler au retour...
C’était bien un samedi soir, un loque à la main, la tête en l’air, mais le nerveux d’ailleurs, on ne le voyait d’un poil. Les minutes de détente passèrent comme des secondes, mais où se trouve-t-il ce môme alors ? J’avais une sorte d’intuition, je me doutais bien s’il jouait avec le taser de mon père, bien qu’il soit rangé dans un casier à cadenas, mais comment ai-je eu l’idée de le laisser tout seul pour tout ce temps là ? Montant pour le chercher, quand je mis mon pied droit sur le palier, le gamin poussa un crie détonant qui me bouscula ainsi, mes battements cardiaux devinrent supersoniques, et là, je trouve le gamin à terre, tombé en pâmoison, médicaments au bout du nez, mais d’où est-ce que je dois être son baby-sitter ? S’ils sont pas capable de le maintenir, pourquoi mettre au monde une nuisible catastrophe ?
Nouveau § Je me suis solennellement précipité vers le téléphone antique à mon père, après avoir composé le numéro, les urgences se sont mit en route pour extirper le morveux. Or, j’appelle ma mère, au fil, elle me lâcha des injures alors que c’était lui qui s’est introduit pour dérober l’îlot, et ainsi, c’est à ce moment-ci que je ressens le goût amer de l’injustice. Ayant une rogue de mère, mes aveu persévérants ne seront pour elle qu’un lac de mensonge.
À cause de cet incident, j’ai dû passer le reste de mes vacances dans le grenier, planqué, avec une lampe que scintille à peine, une veille chaise de fossiles, des livres en anglais qui, incroyablement, proviennent de la Croatie (et qui sont comblés de fautes syntaxiques, dont je peut durement présenter de l’indulgence). Techniquement, les pire vacances sur Terre qu’un carnassier (moi à ce moment de la vie) pourrai avoir !
Et, avant que j’oublie, la mère est juge dans la cour de cassation de la ville d’à côté, c’est simultanément navrant et outrant d’entendre ce genre de choses. Depuis je me suis méfié des juges. Ces derniers jours, notre beau pays souffre des juristes de l’injustice.
À propos de la situation que j’ai durement vécu, je suppose que ce n’était qu’une tactique, s’il attise un conflit, il se fera remarquer encore plus. L’éthique pour cette mésaventure est de menotter le nerveux à chaque fois qu’on me le confie.