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Corriger et Améliorer svp mon carnet de voyage :



Le 5 mars 1983 :

La marche dans la forêt m'avait épuisé : chaleur, moustiques, lianes inextricables. Je transpirais, les pieds étaient douloureux. ET puis, ces cris d'oiseaux inquiétants. La tête me tournait, ma gourde était vide.
Je me réveille un peu étourdi , ma vue est trouble  Je suis allongé sur  une sorte de lit en paille pas très confortable . J’essaie de me redresser avec la force qu’il me reste . Soudain , je vois autour de moi des jarres en terre cuite, des  vases. je ne sais pas où je suis.  Une demi pénombre, un lieu frais. Un perroquet très coloré est perché sur une tige en bois et sa patte est fixée par une chaînette. De son bec noir sortent des sons incompréhensibles mais incessants. Soudain, un enfant entre, puis deux puis trois. Ils apportent un plateau de fruits exotiques superbes, jaunes, verts mais je ne les connais pas. Ils les déposent près de moi. Une jeune femme entre : son visage est coloré et porte des dessins de sa tribu. Ses cheveux noirs sont huilés et nattés. Elle porte des bijoux et deux énormes anneaux aux oreilles assortis à un collier à triple rangée. Son pagne est tissu et lui serre les hanches.
Elle s'approche de moi et pose sa main sur mon front moite. Elle sourit et déplie un habit coloré pour remplacer ma chemise déchirée. De ma sacoche je sors un harmonica et en joue un morceau avant de lui offrir. les enfants se l'arrachent et rient.

Corriger Et Améliorer Svp Mon Carnet De Voyage Le 5 Mars 1983 La Marche Dans La Forêt Mavait Épuisé Chaleur Moustiques Lianes Inextricables Je Transpirais Les P class=

Sagot :

Ollie

Réponse :

Bonjour,

J'ai ajouté quelques suggestions de modifications en gras :

Le 5 mars 1983 :

La marche dans la forêt depuis plusieurs heures / jours m'avait épuisé : chaleur, moustiques, lianes inextricables. Je transpirais, mes pieds étaient douloureux. Et puis, ces cris d'oiseaux inquiétants. La tête me tournait, ma gourde était vide.

Je crois que je me suis évanoui.

Je me réveille un peu étourdi, ma vue est trouble.  Je suis allongé sur  une sorte de lit en paille peu confortable. J’essaie de me redresser avec la force qu’il me reste. Peu à peu, ma vue s'accomode à la demi-pénombre.

Soudain, je distingue autour de moi des jarres en terre cuite, des  vases. Je ne sais pas où je suis, probablement dans une hutte, mais en tout cas l'air est frais. Un perroquet très coloré est perché sur une tige en bois et sa patte est fixée par une chaînette. Il me fixe de son oeil tout rond. De son bec noir sortent des sons incompréhensibles mais incessants.

Tout à coup (pour éviter la répétition de "soudain"), un enfant entre, puis deux, puis trois. Ils apportent un plateau de fruits exotiques superbes, jaunes, verts... mais je ne les connais pas. Ils les déposent près de moi. Une jeune femme entre à son tour : son visage coloré est tatoué des motifs de sa tribu. Ses cheveux noirs sont huilés et nattés. Elle porte des bijoux et deux énormes anneaux aux oreilles, assortis à un collier à triple rangée. Son pagne en tissu lui enserre les hanches.

Elle s'approche de moi et pose sa main sur mon front moite. Elle sourit et déplie une tunique colorée pour remplacer ma chemise déchirée. De ma sacoche, je sors un harmonica et je lui joue un morceau avant de lui offrir l'instrument. Les enfants se l'arrachent et rient.

Bonne journée !

Explications :