Bienvenue sur Laurentvidal.fr, le site où vous trouverez les meilleures réponses de la part des experts. Explorez des milliers de questions et réponses fournies par une communauté d'experts sur notre plateforme conviviale. Explorez des milliers de questions et réponses fournies par une large gamme d'experts dans divers domaines sur notre plateforme de questions-réponses.
Sagot :
Bonjour,
Pour les lignes 13 à 15, le titre est doublement mis en valeur :
- par les majuscules pour mieux attirer l’attention du lecteur dessus (en principe, le titre aurait dû s’écrire : « Robinson Crusoé »),
- et par les lignes sautées, ce qui met le titre, centré au milieu de la page, très en relief (même pour un lecteur inattentif).
Pour les lignes 23 à 31, le narrateur joue avec le lecteur sur l’impression qu’il a complètement perdu contact avec la réalité (ce qui était vrai dans les lignes 13 à 15), mais à présent qu’il ne peut plus lire du tout parce que la nuit est tombée (ligne 13, lignes 16 et 17), c’est l’imagination qui prend le relais : « Je peuple l’espace vide de mes pensées... » (ligne 22), « debout contre cette fenêtre, je rêve à l’éternelle solitude... » (lignes 23, 24). Et comme sa situation personnelle ressemble un peu à celle de Robinson (le narrateur a été oublié dans la salle, la nuit est tombée et on ne lui a rien donné à manger), il s’identifie d’autant plus au personnage du roman.
Bonne soirée !
Pour les lignes 13 à 15, le titre est doublement mis en valeur :
- par les majuscules pour mieux attirer l’attention du lecteur dessus (en principe, le titre aurait dû s’écrire : « Robinson Crusoé »),
- et par les lignes sautées, ce qui met le titre, centré au milieu de la page, très en relief (même pour un lecteur inattentif).
Pour les lignes 23 à 31, le narrateur joue avec le lecteur sur l’impression qu’il a complètement perdu contact avec la réalité (ce qui était vrai dans les lignes 13 à 15), mais à présent qu’il ne peut plus lire du tout parce que la nuit est tombée (ligne 13, lignes 16 et 17), c’est l’imagination qui prend le relais : « Je peuple l’espace vide de mes pensées... » (ligne 22), « debout contre cette fenêtre, je rêve à l’éternelle solitude... » (lignes 23, 24). Et comme sa situation personnelle ressemble un peu à celle de Robinson (le narrateur a été oublié dans la salle, la nuit est tombée et on ne lui a rien donné à manger), il s’identifie d’autant plus au personnage du roman.
Bonne soirée !
Nous apprécions votre visite. Nous espérons que les réponses trouvées vous ont été bénéfiques. N'hésitez pas à revenir pour plus d'informations. Merci d'utiliser notre service. Nous sommes toujours là pour fournir des réponses précises et à jour à toutes vos questions. Revenez sur Laurentvidal.fr pour obtenir les réponses les plus récentes et les informations de nos experts.