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Bonjour pouvez vous m’aider s’il vous plaît


7. Dans le texte suivant, mettez les verbes entre
parenthèses au temps et au mode qui conviennent.
a. Dans le premier paragraphe, quel temps allez-vous
employer ? Quelles sont ici ses deux valeurs ?
b. ou commence le récit ? Il est au passé. Mettez les
verbes au temps qui convient.
Le fleuve Min qui (arroser) la province de Sscu.
tch'ouan (abriter) au creux de ses vingt-quatre
méandres vingt-quatre petits lacs qu'on (appeler) les
Larmes. Vous ne savoir) pas d'où leur (venir) ce
nom? Eh bien, (écouter) cette histoire.
Il y avoir) longtemps, bien longtemps. (vivre) dans
un village de cette contrée un fermier si méchant et à
l'âme si noire que les gens l'(surnommer) le Tigre
noir. Il (posséder) tant de champs qu'on ne (pouvoir)
les compter et sa table ne (se couvrir) que des mets les
plus fins. 1 (aller) toujours vêtu de soie et de brocart,
écorchant sans pitié les pauvres gens. Malheur à ceux
qui ne (pouvoir) payer à temps leur fermage!
Dans ce village (habiter) un jeune garçon du nom
de Wen P'eng qui (vivre) avec sa mère. Son père
(quitter) déjà depuis longtemps ce monde à la suite
des mauvais traitements du Tigre noir. Wen P'eng
(être) encore trop jeune pour les travaux des champs :
aussi (vivre)-il de sa pêche quotidienne dont il
(vendre) le produit dans les auberges avoisinantes.
Un jour qu'il (être assis) au bord de la rivière à
guetter le poisson, il (voir) descendre le crépuscule
alors qu'il n' (prendre) pas un seul poisson. Il (aller)
rentrer lorsque sa ligne (se courbær) soudain. Le gar-
çon (se précipiter) sur sa canne à pêche et (tirer, tirer).
Mais on eût dit que la ligne (être ancrée) au fond de
l'eau. Elle ne (bouger) pas d'un pouce.
«Ce (devoir) être quelque très gros poisson (pen-
ser) Wen Peng en s'arc-boutant.
Et après bien des efforts, il (réussir) enfin à retirer
le poisson. Et quel poisson! Énorme et scintillant!
Des écailles d'or (briller) autour de sa gueule énorme
et sur sa queue.
«Wen P'eng, je t'en (supplier), (relâcher)-moi,
(gémir) le poisson d'une voix humaine, je te (récom-
penser).
Le garçon (avoir pitié) du merveilleux poisson et le
(relancer) dans l'eau.
Quelques instants plus tard, le poisson (réappa-
raftre) à la surface, (se diriger) vers la rive et y (dépo-
ser) une grosse perle brillante.
<< (Prendre)-la, dit le poisson, à partir d'aujour-
d'hui, tu ne manquer) plus de rien.>>
Et il (s'enfoncer) de nouveau dans l'eau verte et
(disparaître).

Sagot :

Ollie
Bonjour,

Dans le texte suivant, mettez les verbes entre parenthèses au temps et au mode qui conviennent.

a. Dans le premier paragraphe, quel temps allez-vous employer ? Quelles sont ici ses deux valeurs ? On emploie le présent de vérité générale, parce que le lieu existe toujours, et l’impératif présent pour expliquer l’origine du nom des lacs.

b. Où commence le récit ? Il est au passé. Mettez les verbes au temps qui convient. Le récit commence avec l’expression « Il y avait longtemps », à l’imparfait.

Le fleuve Min qui arrose province de Sscu tch'ouan abrite au creux de ses vingt-quatre méandres vingt-quatre petits lacs qu'on appelle les Larmes. Vous ne savez pas d'où leur vient ce nom ? Eh bien, écoutez cette histoire.
Il y avait longtemps, bien longtemps vivait dans un village de cette contrée un fermier si méchant et à l'âme si noire que les gens l’avaient surnommé le Tigre noir. Il possédait tant de champs qu'on ne pouvait les compter et sa table ne se couvrait que des mets les plus fins. Il allait toujours vêtu de soie et de brocart, écorchant sans pitié les pauvres gens. Malheur à ceux qui ne pouvaient payer à temps leur fermage!
Dans ce village habitait un jeune garçon du nom de Wen P'eng qui vivait avec sa mère. Son père avait déjà quitté depuis longtemps ce monde à la suite des mauvais traitements du Tigre noir. Wen P'eng était encore trop jeune pour les travaux des champs : aussi vivait-il de sa pêche quotidienne dont il vendait le produit dans les auberges avoisinantes.
Un jour qu'il était assis au bord de la rivière à guetter le poisson, il vit descendre le crépuscule
alors qu'il n’avait pas pris un seul poisson. Il allait rentrer lorsque sa ligne se courba soudain. Le garçon se précipita sur sa canne à pêche et tira, tira.
Mais on eût dit que la ligne était ancrée au fond de l'eau. Elle ne bougeait (ou ne bougea) pas d'un pouce.
«Ce doit être quelque très gros poisson, pensa Wen Peng en s'arc-boutant.
Et après bien des efforts, il réussit enfin à retirer le poisson. Et quel poisson ! Énorme et scintillant !
Des écailles d'or brillaient autour de sa gueule énorme et sur sa queue.
«Wen P'eng, je t'en supplie, relâche-moi, gémit le poisson d'une voix humaine, je te récompenserai. »
Le garçon eut pitié du merveilleux poisson et le relança dans l'eau.
Quelques instants plus tard, le poisson réapparut à la surface, se dirigea vers la rive et y déposa une grosse perle brillante.
<< Prends-la, dit le poisson, à partir d'aujourd'hui, tu ne manqueras plus de rien.>>
Et il s’enfonça de nouveau dans l'eau verte et disparut.

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