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Sagot :
Réponse:
Le discours c'est l'extrait 2 car il est au présent et au passé il montre plusieurs actions qui ont un effets sur le temps présent. L'extrait 1 sera donc le récit car les temps utilisé sont: le passé simple et l'imparfait.
Explications:
Pour les classés:
Extrait 1:
-Passé simple
-revint
-frappe
-attendit
-ouvrit
-ouvrit
-traversa
-resta
-fermâmes
-Imparfait:
-prenions
Bonjour,
L’extrait 1 correspond au récit (histoire racontée à la troisième personne du singulier), le texte 2 au discours (paroles d’un personnage ou de l’auteur lui-même).
Donc au récit, les temps de la narration qui dominent sont forcément l’imparfait pour la description ou les habitudes et faits qui se répètent (nous prenions, valeur de description), et le passé simple pour les actions de premier plan, en général brèves et ponctuelles dans le passé (revint, frappa, n’attendit pas, ouvrit, traversa, resta, fermâmes).
Pour le discours, ici au langage soutenu, il y a du présent d’énonciation (je ne suis pas sûr, il se peut) du subjonctif imparfait pour les retours dans le passé (fussent, se mêlât) ou pour l’hypothèse (fût-il), du plus que parfait (nous avions décidé), et enfin un présent de vérité générale (je ne puis).
J’espère avoir été clair dans l’explication... sinon, n’hésite pas à redemander !
Bonne journée !
L’extrait 1 correspond au récit (histoire racontée à la troisième personne du singulier), le texte 2 au discours (paroles d’un personnage ou de l’auteur lui-même).
Donc au récit, les temps de la narration qui dominent sont forcément l’imparfait pour la description ou les habitudes et faits qui se répètent (nous prenions, valeur de description), et le passé simple pour les actions de premier plan, en général brèves et ponctuelles dans le passé (revint, frappa, n’attendit pas, ouvrit, traversa, resta, fermâmes).
Pour le discours, ici au langage soutenu, il y a du présent d’énonciation (je ne suis pas sûr, il se peut) du subjonctif imparfait pour les retours dans le passé (fussent, se mêlât) ou pour l’hypothèse (fût-il), du plus que parfait (nous avions décidé), et enfin un présent de vérité générale (je ne puis).
J’espère avoir été clair dans l’explication... sinon, n’hésite pas à redemander !
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