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Sagot :
Coucou ! Voici un texte que j’ai écris et qui raconte l’histoire d’un roturier tombant amoureux d’une dame de la cour de Versailles. J’ai utilisé des métonymies classiques :) vérifie bien les fautes auprès de quelqu’un, car même si je me suis relue il y a sûrement quelques fautes qui traînent :) dit moi si quelque chose ne va pas !
- Maître Jean !
- Plaît-il ?
- Mon ami, je me dois de vous raconter ma mésaventure. Hier, je fus éblouis par une charmante demoiselle, qui fut si belle que j’en eu le souffle coupé. Comment, à mon grand désarroi, aurais-je pu lui faire la cour ? Ou bien même demander son nom ? Oh ! Moi qui ne suis qu’un pauvre roturier de la cour, comment oserais-je poser mes pauvres yeux ébahis devant tant de beauté ? Ses longs cheveux blonds étaient si fins et si brillants qu’on aurait dit des cheveux d’anges. Ses yeux bleus, d’un bleu si profond qu’ils me transperçaient. Mais malheur ! Un noble lui faisait déjà les yeux doux. On lui faisait la cour, et je suis spectateur de tout cela. Ho, que je hais mon statut qui m’empêche de parler à l’objet de mes vœux ! Qui m’empêche d’être heureux ! Je ne gagne rien, mais je me tue à la tâche. Pourquoi moi ?
- Vous pouvez en trouver à profusion dehors, Monsieur Pierre.
- Je les trouve d’une grossièreté affligeante. Les dames de la cour sont si élégantes et raffinées... je ne puis oublier cette dame et éteindre les feux qui me possède.
- Tour ce que vous pouvez faire est d’oublier, mon cher monsieur, cette dame que vous ne pourrez, malheureusement pour vous, jamais courtiser.
- Soit. Mais les fers pourront bientôt me gagner...
- Maître Jean !
- Plaît-il ?
- Mon ami, je me dois de vous raconter ma mésaventure. Hier, je fus éblouis par une charmante demoiselle, qui fut si belle que j’en eu le souffle coupé. Comment, à mon grand désarroi, aurais-je pu lui faire la cour ? Ou bien même demander son nom ? Oh ! Moi qui ne suis qu’un pauvre roturier de la cour, comment oserais-je poser mes pauvres yeux ébahis devant tant de beauté ? Ses longs cheveux blonds étaient si fins et si brillants qu’on aurait dit des cheveux d’anges. Ses yeux bleus, d’un bleu si profond qu’ils me transperçaient. Mais malheur ! Un noble lui faisait déjà les yeux doux. On lui faisait la cour, et je suis spectateur de tout cela. Ho, que je hais mon statut qui m’empêche de parler à l’objet de mes vœux ! Qui m’empêche d’être heureux ! Je ne gagne rien, mais je me tue à la tâche. Pourquoi moi ?
- Vous pouvez en trouver à profusion dehors, Monsieur Pierre.
- Je les trouve d’une grossièreté affligeante. Les dames de la cour sont si élégantes et raffinées... je ne puis oublier cette dame et éteindre les feux qui me possède.
- Tour ce que vous pouvez faire est d’oublier, mon cher monsieur, cette dame que vous ne pourrez, malheureusement pour vous, jamais courtiser.
- Soit. Mais les fers pourront bientôt me gagner...
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