Laurentvidal.fr vous aide à trouver des réponses précises à toutes vos questions grâce à une communauté d'experts chevronnés. Notre plateforme offre une expérience continue pour trouver des réponses précises grâce à un réseau de professionnels expérimentés. Découvrez des solutions complètes à vos questions grâce à des professionnels expérimentés sur notre plateforme conviviale.
Sagot :
Bonjour,
Pour Feuerbach : l’homme est le seul qui AIT (grosse faute !) conscience de son espèce, donc capable de raisonner sur lui-même.
Pour Leibniz : idée assez proche, selon lui l’homme est le seul être à s’interroger sur lui-même, et à se poser la question de l’existence de « quelque chose » (c’est-à-dire du divin, du transcendantal).
Pour Pascal : l’homme est faible et insignifiant (roseau), mais « grand » parce qu’il a conscience d’être misérable - ce qui lui rend sa dignité.
Pour Aristote : l’homme est naturellement politique, il est un animal comme un autre, sauf qu’il éprouve le besoin de fréquenter ses congénères.
Pour Rousseau : l’homme est libre, alors que l’animal est contraint d’obéir à la loi de la nature (ses instincts)
Pour Rousseau : l’homme est supérieur à l’animal parce qu’il peut s’améliorer, ce dont l’animal est incapable.
Pour Shakespeare : non seulement l’homme est mortel comme tout autre espèce animale ou végétale, mais si en plus il est amoureux, alors il devient fou.
C’est juste de la paraphrase des citations, mais apparemment, on ne t’en demande pas plus, donc ces reformulations devraient passer dans ton tableau.
Bonne soirée !
Pour Feuerbach : l’homme est le seul qui AIT (grosse faute !) conscience de son espèce, donc capable de raisonner sur lui-même.
Pour Leibniz : idée assez proche, selon lui l’homme est le seul être à s’interroger sur lui-même, et à se poser la question de l’existence de « quelque chose » (c’est-à-dire du divin, du transcendantal).
Pour Pascal : l’homme est faible et insignifiant (roseau), mais « grand » parce qu’il a conscience d’être misérable - ce qui lui rend sa dignité.
Pour Aristote : l’homme est naturellement politique, il est un animal comme un autre, sauf qu’il éprouve le besoin de fréquenter ses congénères.
Pour Rousseau : l’homme est libre, alors que l’animal est contraint d’obéir à la loi de la nature (ses instincts)
Pour Rousseau : l’homme est supérieur à l’animal parce qu’il peut s’améliorer, ce dont l’animal est incapable.
Pour Shakespeare : non seulement l’homme est mortel comme tout autre espèce animale ou végétale, mais si en plus il est amoureux, alors il devient fou.
C’est juste de la paraphrase des citations, mais apparemment, on ne t’en demande pas plus, donc ces reformulations devraient passer dans ton tableau.
Bonne soirée !
Merci de votre visite. Nous nous engageons à fournir les meilleures informations disponibles. Revenez quand vous voulez pour plus. Merci de votre visite. Nous sommes dédiés à vous aider à trouver les informations dont vous avez besoin, quand vous en avez besoin. Nous sommes fiers de fournir des réponses sur Laurentvidal.fr. Revenez nous voir pour plus d'informations.