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Sagot :

La vie dans les tranchées se résumait à de longues périodes d’ennui ponctuées de brefs moments de terreur. La menace de la mort obligeait les soldats à être constamment sur le qui-vive alors que les conditions de vie difficiles et le manque de sommeil minaient leur santé et leur endurance.

Vermine et douleur

Les rats et les poux tourmentaient les soldats jour et nuit. Des rats gigantesques attirés par la nourriture et les déchets des armées stationnaires contribuaient à répandre les maladies et étaient un irritant constant. En 1918, les médecins identifièrent également les poux comme les responsables de la fièvre des tranchées, qui causait des maux de tête, de la fièvre et des douleurs musculaires aux soldats. L’insalubrité des tranchées, particulièrement due à l’humidité froide et persistante, provoquait la maladie du pied des tranchées, infection apparentée aux engelures qui dans les cas les plus graves pouvait causer la gangrène et nécessiter l’amputation.

Le caractère aléatoire de la mort

La guerre des tranchées était caractérisée par les bombardements ou les tirs d’embuscade, des tirs de fusil violents ou mortels troublant périodiquement l’ennui de la vie des tranchées. L’ennemi était en grande partie dissimulé à la vue et les soldats se sentaient souvent impuissants face à une mort arbitraire et soudaine. L’incapacité de se défendre contre les obus ou les tireurs d’élite et les difficultés constantes de la vie dans les tranchées provoquaient un stress et un épuisement excessifs. Des dizaines, et parfois des centaines, de soldats canadiens étaient tués et blessés chaque jour le long du Front occidental. L’infanterie et les mitrailleurs qui subirent la majorité des pertes au cours de la guerre, prévoyaient de perdre chaque mois 10 pour cent de l’ensemble de leurs effectifs par décès, blessure et maladie. La mort ne chômait jamais sur le Front occidental.


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