leda254
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bonjours , j ai un devoir pour demain qui est noter sur 20 ses de la Reecritures sur Coco (Guy de Maupassant )pouvez vs m 'aidez svp!!!

1) . Reecris les lignes 61 ( Alors, il demeura debout , le regardant ,content de son oeuvre, étonné en meme temps que ce fut déjà fini .Il le toucha du pied, leva une de ses jambes, puis la laissa retomber , s'assit dessus , et resta là , les yeux fixés dans l'herbe et sans penser a rien .Il revient à la ferme , mais il ne dit pas l'accident, car il voulait vagabonder encore aux heures ou , d'ordinaire, il allait changer de place le cheval .Il alla le voir le lendemain )

à 64 (<<le lendemain) en remplacant (il) singulier par (ils pluriel . Fais toutes les transformations nécessaires.


2) Réecris les lignes 12 ( on conservait par charité , dans le fond de l'écurie, un trés vieux cheval blanc que la maitresse voulait nourrir jusqu'à sa mort naturelle, parce qu'elle l'avait élevé, gardé toujours , et qu'il lui rappelait des souvenirs.Un goujat de quinze ans , nommé ISIDORE DUVAL , et appelé simplement Zidore , prenait soin de cet invalide , lui donnait, pendant l'hiver, sa mesure d'avoine et son fourrage) .

à la ligne 15 (son fourrage) en remplacant (un trés vieux cheval blanc ) par ( des trés vieux chevaux blancs ) . Fais toutes les modification nécessaires .

MERCIII !!!

 



Sagot :

Alors, ils demerèrent debout, le regardant, contents de leur oeuvre, étonnés en même temps que ce fut déjà fini. Ils le touchèrent du (des ?) pied(s), levèrent une de ses jambes, puis la laissèrent retomber, s'assirent dessus, et restèrent là, les yeux fixés dans l'herbe et sans penser à rien. Ils revinrent à la ferme, mais il ne dirent pas l'accident, car il voulaient vagabonder encore aux heures où, d'ordinaire, ils allaient changer de place le cheval. Ils allèrent le voir le lendemain.

 

On conservait par charité, dans le fond de l'écurie, de très vieux chevaux blancs que la maitresse voulait nourrir jusqu'à leurs morts naturelles, parce qu'elle les avaient élevé, gardé toujours, et qu'ils lui rappelaient des souvenirs. Un goujat de quinze ans, nommé Isidore Duval, et appelé simplement Zidore, prenait soin de ces invalides, leur donnaient, pendant l'hiver, leurs mesures d'avoine et leurs fourrages.

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