Réponse : Bonsoir,
1) Ce document est un article de presse intitulé "Thon rouge, le spectaculaire redressement des stocks"publié dans le magazine Lemarin.fr à la date du 1er juin 2015. L'auteur de cette coupure est S. Le Roux.
2) Sur ce graphique débutant à partir de 1950, nous pouvons observer que les pêches dans l'océan Atlantique ont fortement régressé aux alentours de 5 millions de tonnes de pêche, jusqu'à (environ) 1967 pour ensuite évolue d'une manière constante ne dépassant pas les 13 millions de tonnes.
A l'instar (=a l'exemple) des pêches dans l'océan Atlantique, celles en mer Méditerranée ont aussi fortement régressée de 37 millions de tonnes à 12-13 millions de tonnes jusqu'aux années 1970 pour ensuite augmenter fortement et nous pouvons voir un pic de 50 millions de tonnes de pêches, vers les années 1997-1999. On observe alors une surexploitation de cette faune marine mais n'a toutefois pas empêché de continuer la pêche. Cette courbe va après coup régresser à nouveau, ne dépassant pas les 35 millions de tonnes de pêches depuis les années 2000.
On observe aussi sur ce graphique des pêches non déclarées, débutant vers 1998 à 50 millions de tonnes, évolue de manière constante pour ensuite faire un pic de 60 millions de tonnes vers 2008 pour régresser tout aussi brusquement jusqu'à 20 millions de tonnes de pêches en 2010. Nous savons que à cause du risque d'extinction de l'espèce, l'ONG a été mobilisée, en étant fortement poussé par les médias, et à imposée des mesures radicales.
Des captures autorisées se déroulent de 1999-2001 (environ), allant de 32 millions à 28 millions de tonnes. Ces captures se produisent à nouveau de 2004 à 2010, débutant à 31 millions de tonnes captures pour ensuite fortement régresser jusqu'à 10 millions de tonnes. L'Iccat s'allie en fin 2009 à quatre autres gendarmes mondiaux de la pêche au thon afin de coordonner les pêches et effectuant un commerce mondial pour éviter l'extinction de l'espèce et la fin des métiers de pêcheurs de thon rouge.
Bonne soirée
