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Sagot :
Bonjour,
Je te met deux rédactions donc choisie celle que tu préfère (perso la première correspond mieux à ton énoncé) (les deux s’inspire d’un paysage de Yann Arthus-Bertrand, vol d’ibis rouges, Venezuela )
1. Cela faisait plusieurs jours que j’avais quitté les plaines et les vallées blanches aux reflets brillants des montagnes, à la recherche de nouvelles contrées et de nouveaux peuples. J’étais impatiente de découvrir de nouveaux horizons et émerveillée par la beauté des paysages que je survolais. Le 13 décembre 1778, à bord de ma montgolfière, je voyageais maintenant au-dessus des lacs et des marécages calmes du Venezuela, et déjà, je ne distinguais plus les hautes cimes des monts enneigés. Deux jours après, une tempête surgit brusquement, je n’arrivais plus à contrôler ma montgolfière et j’étais entraînée par ce vent si brutal. Soudain, j’aperçus une lueur dans le ciel à travers les nuages et la suivis afin de sortir de cette tornade et ainsi retrouver le calme au-dessus des nuages.
Dans la nuit du 17 décembre 1778, de grandes ombres noires passèrent au-dessous de moi et me firent sursauter. De grands oiseaux aux longs becs incurvés volaient sous ma montgolfière et leurs ailes qui se détachaient du paysage leur donnaient un air majestueux. J’étais à environ 345 mètres d’altitude. Jusqu’au début du mois de janvier, ma longitude était de 66° et ma latitude était de 10°. Dans le ciel aux étoiles scintillantes et aux nuages duveteux, j’apercevais les ibis. Leurs plumes étaient un éventail dégradé de couleurs, partant du blanc vers le rouge et leur bec était blanc et rose. De là-haut, je pouvais entendre et observer chacun de leurs mouvements et leur doux et silencieux vol de nuit. Leurs ombres glissaient sur l’eau telle des flamants roses dans l’eau. Je me précipitais sur les bords de ma montgolfière et admirais ce spectacle inouï, féerique et enchanteur. Je me rapprochais d’eux et j’entendais le son de leurs ailes qui me faisait rêver. Déjà, les premières lueurs de l’aube pointaient et devant moi, s’étendaient à perte de vue, des centaines et des centaines d’ibis, qui recouvraient le ciel comme un immense nuage rouge. Comme les oiseaux étaient toujours là, je décidais de les suivre vers l’inconnu pour continuer mon voyage et découvrir un nouveau monde.
2. Cela faisait plusieurs jours que nous avions quitté les plaines et les vallées blanches, aux reflets brillants des montagnes. À bord de nos montgolfières, nous voyagions maintenant au-dessus des lacs et des marécages calmes du Venezuela, et déjà, nous ne distinguions plus les hautes cimes des monts enneigés.
Dans la nuit, de grandes ombres noires passèrent au-dessous de nous et nous firent sursauter. De grands oiseaux, aux becs incurvés, volaient sous nos montgolfières, et leurs ailes, qui se détachaient du paysage, leur donnaient un air majestueux. Dans le ciel aux étoiles scintillantes et aux nuages duveteux, nous apercevions les ibis, leurs plumes étaient comme un dégradé de couleur, partant du blanc vers le rouge et leur bec était blanc et rose. De là-haut, nous pouvions entendre et observer chacun de leurs mouvements et leur doux et silencieux vol de nuit. Leurs ombres glissaient sur l’eau telles des flamants roses dans l’eau. Nous nous précipitions sur les bords de nos montgolfières et nous admirions ce spectacle inouï, féerique et enchanteur. Nous nous rapprochions d’eux et nous entendions le son de leurs ailes, qui nous faisait rêver. Déjà, les premières lueurs de l’aube pointaient et devant nous, s’étendaient à perte de vue, des centaines et des centaines d’ibis, qui recouvraient le ciel comme un immense nuage rouge. Comme les oiseaux étaient toujours là, nous décidions de les suivre vers l’inconnu pour continuer notre voyage.
Voila ! J'espère t'avoir aider ! (je pense que tu vas devoir un peu compléter mais je t'ai bien avancé ;) )
Bonne journée !
Réponse :
bonjour,
Explications :
aujour d hui allemagne 13 mai 2020
je me suis leve tres tot car on avait enormement de choses a faire:))apres avoir pris mon petit dejeuner en 4eme vitesse nous sommes allees voir Le château d’Hohenschwangau c estait magique et splandide voila mon journal pour toi une description de ce chateaux pour que tu te l imagine:Non loin de Schwangau, se trouve le château de Neuschwanstein, un véritable château de contes de fées ! Construit sur un petit sommet rocheux, il est visible de loin et depuis toute la commune de Schwangau. La construction débuta en 1869, à la demande du roi Louis II de Bavière ; ce dernier n'y vécu cependant que quelques semaines avant sa mort en 1886. Pour les passionnés de "Sissi", Elisabeth était la cousine de Louis II de Bavière. tout ce que je te raconte la je l ai note dans un petit carnet pendant la vistite.ensuite nous avont piqnique dans un parc et apres nous sommes allees nous baigner dans l izar c est une rivieres d allemagne tres connue et ce soir j ai goute une specialiter allemande le keiserschman une sorte de grosse crepe au raisin avec de la compote
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