Bonjour,
Je te donne des idées :
- J'aperçois des maisons collées les unes aux autres et dont les balcons changeaient d'aspect selon qu'ils servaient à mettre des plantes, à faire sécher le linge ou encore à entreposer des vélos.
Peu à peu, les îlots de maisons s'espaçaient pour faire place à des pavillons de banlieue entourés de petits jardins de plus en plus grands qui finissaient par céder la place à d'immenses champs v erts dans lesquels des vaches broutaient.
- Des panoramas tantôt verts, tantôt jaunes, selon qu'il s'agissait de prés ou de champs qui offraient leurs toisons pour la moisson, quelques bouquets de coquelicots formaient comme des tâches de sang au milieu des blés....
- Le défilement des collines, des prairies, des coteaux, des villages...
- un petit village au loin qui semble endormi. Sur une place se trouve une fontaine en forme d'éléphant dont l'eau jaillit de la trompe et une belle église. Ce petit bout de campagne ravit mon coeur, je me sens vivante, légère comme une plume, heureuse.....
Tout à coup, changement de décor brutal, le passage dans une ville urbaine, des usines crachant de la fumée noire et polluante, de hauts immeubles dont les façades grises sont munies de fenêtres carrées ressemblant à des yeux qui m'épient. J'aperçois la cohue sur la route, les embouteillages, les klaxons, je me désolais d'avoir perdu le tableau qui s'était offert à moi précédemment.
Puis de nouveau de la verdure ! Bien au loin, un petit bois dont je ne distingue que la silhouette. Le paysage devint abrupt.
