bonjour besoin d'aide svp
Indiquez le temps de chaque verbe souligné dans les phrases suivantes. Indiquez la valeur de ces temps.
1.Monsieur Haneda était le supérieur de monsieur Omochi, qui était le supérieur de monsieur Saito, qui était le supérieur de mademoiselle Mori, qui était ma supérieure. Et moi, je n’étais la supérieure de personne.
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
2. J’avais la même couleur que les autres, la même tête, j’avais entendu parler de religions différentes et on m’avait appris à l’école que des gens s’étaient battus autrefois pour cela, mais moi, je n’avais pas de religion, le jeudi, j’allais même au patronnage avec d’autres gosses du quartier, on faisait du basket derrière l’église.
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
3. L’homme me dit qu’il s’appelait monsieur Saito. Il me conduisit à travers d’innombrables et immenses salles, dans lesquelles il me présenta à des hordes de gens, dont j’oubliais les noms au fur et à mesure. Il m’introduisit ensuite dans le bureau où siégeait son supérieur, monsieur Omochi, qui était énorme et effrayant, ce qui prouvait qu’il était le vice-président.
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………...........................................................................................................................................................
4. Je me retrouvai seul, à cet endroit de la pièce où était la table autour de laquelle, jadis, nous prenions le repas. Le soleil dessinait des raies orangées sur le parquet. Pas un bruit. L’œil de bœuf1, à travers lequel on devinait une chambre, était toujours là.
…………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………
5. A mesure que j’approchais, j’entendais gronder derrière moi, se rapprochant aussi, le tonnerre des roues.
J’arrivai au relais1 . Je me retournai, et je vis accourir comme une, ces trois voitures qui brûlaient le pavé, conduites par des chevaux en sueur, et par des postillons2 en grande tenue. […] Tout le monde se précipita sur la voiture de l’empereur. Je me trouvai naturellement un des premiers.
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………....................................................................................................................................................
……………………………………………………………………………………………………………............................................................................................................................................................