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Bonjour, aurez vous la gentillesse de m’aider pour répondre aux questions du devoir de français . Je dois le rendre aujourd'hui. Alors, je vous en supplie aider moi svp. Je serai reconnaissant à ce qui m'aider. Je vous remercie d’avance. Bonne journée.

Poème 1 :

Souvenir

En vain le jour succède au jour,
Ils glissent sans laisser de trace ;
Dans mon âme rien ne t'efface,
Ô dernier songe de l'amour !

Je vois mes rapides années
S'accumuler derrière moi,
Comme le chêne autour de soi
Voit tomber ses feuilles fanées.

Mon front est blanchi par le temps ;
Mon sang refroidi coule à peine,
Semblable à cette onde qu'enchaîne
Le souffle glacé des autans.

1. Recopiez le vers 2 (Ils glissent …) et ajoute à la suite une comparaison dont le pronom « ils » sera le comparé (votre comparaison doit tenir compte du contexte)
2. Vers 5 (à partir de « Je vois … jusqu’à …. « fanées » : A quoi le poète se compare-t-il ?
A quoi compare –t-il les années qu’il a vécues ?
3. Expliquer, au choix, une des deux métaphores suivantes : « refroidi » (vers 10), ou « enchaîne » (vers 11). (L’onde, c’est l’eau, d’un ruisseau par exemple : L’autant est un vent glacial).

Poème 2 :

Mes deux filles

Dans le frais clair-obscur du soir charmant qui tombe,
L'une pareille au cygne et l'autre à la colombe,
Belle, et toutes deux joyeuses, ô douceur !
Voyez, la grande sœur et la petite sœur
Sont assises au seuil du jardin, et sur elles
Un bouquet d'œillets blancs aux longues tiges frêles,
Dans une urne de marbre agité par le vent,
Se penche, et les regarde, immobile et vivant,
Et frissonne dans l'ombre, et semble, au bord du vase,
Un vol de papillons arrêté dans l'extase.


1. Les vers 3 à 7 développent une langue comparaison dont l’outil est « semble » (vers 6) et le comparé « Un bouquet d’œillets blancs ».
2. Quel est le comparant ?
3. Quel point commun y a-t-il entre le comparé et le comparant ?

Sagot :

Réponse :

Poème 1.

1. Vers 2 : "Ils glissent sans laisser de trace comme deux cygnes sur le lac"

2. "Je vois mes rapides années

S'accumuler derrière moi,

Comme le chêne autour de soi

Voit tomber ses feuilles fanées. "

Le poète se compare à un chêne. les années sont comparées aux feuilles fanées tombées.

3. "Mon sang refroidi coule à peine, "

le sang , 'est la vie. Il est refroidi. On dit parfois qu'on a le sang qui se glace comme si la vie ralentissait ici de vieillesse.

Poème 2

"Voyez, la grande sœur et la petite sœur

Sont assises au seuil du jardin, et sur elles

Un bouquet d'œillets blancs aux longues tiges frêles,

Dans une urne de marbre agité par le vent,

Se penche, et les regarde, immobile et vivant,

Et frissonne dans l'ombre, et semble, au bord du vase,

Un vol de papillons arrêté dans l'extase. "

1 et 2. Un bouquet d'oeillets blancs ... semble un vol de papillons".

Le comparant est "un vol de papillons"

3. Le point commun appelé "analogie" est la légèreté, la couleur, a forme des pétales et les ailes.

Explications :