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Sagot :
Bonjour,
Comme tu n'a pas donné beaucoup d’explications, j'ai écrit un texte à l'imparfait et au passé simple. Libre à toi de changer le temps utilisé si ce ne sont pas les bon.
Je n'ai pas non plus écrit le pont de vue de plusieurs spectateurs mais d'un seul, excuse moi. J'espère que j'aurais réussi à t'aider.
J'étais tranquillement installée sur un banc de la place publique quand je vis un sans abris s'installer par terre, faute de place. Soudainement pris(e) d'affection pour lui , je me levais , me dirigeait vers lui pour lui dire que je lui cédais ma place.Il leva les yeux vers moi , comme halluciné que quelqu'un lui parle comme à un égal. Après m'avoir remercié d'un regard, il s'assit à la place que j'occupais l'instant d'avant. Je ne voulais pas le laisser comme ça, tout seul et sans autre ressource qu'un sac usé par le temps contenant quelques vivres et une vieille couverture... Je l'abandonnais pourtant là quelques temps pour retirer de l'argent au distributeur. Quand je revins à la grande place, je m’arrêtais soudain : un groupe de personnes entouraient le sans abris ,qu'ils avaient mis à terre ,et, avec lequel ils se défoulaient en lui jetant de nombreux coups de pieds et coups de points sans discontinuer. Il y avait de nombreuses personnes sur la place qui les regardaient sans avoir la moindre intention d'intervenir, comme si tout cela était normal de voir un personne sans défenses se faire harceler sans raisons.Comment pouvaient ils profiter de plus faible? Et pourquoi personne ne daigne l'aider? Soudain pris de colère haineuse, je retroussais mes manches et me préparais à défendre le sdf quand la cruelle bande s'en alla , laissant la pauvre personne tabassée seule .Courant vers lui, je l'aidais à se relever-Il accepta mon aide avec gratitude ce qui me fis fondre de compassion pour son air malheureux -et je sortis de mon sac l'argent que j'étais allé chercher pour lui.Je lui mis la liasse dans la main en souriant. Et puis il fit une chose qui m'émut aux larmes: il mis la liasse sur son cœur d'une main , puis, de l'autre il pris la mienne qu'il posa sur ma joue.
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