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Donc voici la suite du texte: gigantesque incendie s’achevait qui dresserait sur tous les horizons d’immenses carcasses enfumées, farcies encore par des points de combustion. »
Albert CAMUS (1913-1960) – Pluies de New York (1965) et voici mes questions : De quelle manière A. Camus fait-il visiter New-York au lecteur ? Citez un bref passage du
texte qui le prouve.
2. Relisez les lignes 1 à 6. Quel est le champ lexical dominant ? Relevez-en trois termes.
Quelle image ces mots donnent-ils de la ville ?
3. Lignes 3-4 se succèdent les termes « réfugié » et « pris au piège ». Expliquez la
contradiction entre les deux.
4. Dans le premier paragraphe, à quoi sont comparés les gratte-ciel ? Quel est l'effet produit ?
5. En comparant le début et la fin de la phrase en gras, expliquez ce que cherche à montrer
l'auteur.
6. D'après une métaphore que vous relèverez, en quoi New York se transforme la nuit ?
7. Question de synthèse : d'après votre lecture, quelle ambiance la ville de New York crée-t-elle selon l’auteur ? Merci a ce qui maideront ;)

Donc Voici La Suite Du Texte Gigantesque Incendie Sachevait Qui Dresserait Sur Tous Les Horizons Dimmenses Carcasses Enfumées Farcies Encore Par Des Points De C class=

Sagot :

Réponse :

1. Camus nous fait visiter New York sous la pluie, dans un taxi.

"On pourrait rouler ainsi pendant des heures".

2. Le champ lexical dominant est celui de la pluie : "pluie, coule, essuie-glace, coule ..."

La ville ruisselle, humide.

3. "Réfugié"./"pris au piège". Il est à la fois protégé de de pluie et comme enfermé dans l'espace clos du taxi.

4. Les gratte-ciel : "se dressent comme les gigantesques sépulcres d'une ville  de morts."

Comparaison.

5. "Huit millions d'hommes / solitude". Antithèse que montre que dans cette énorme mégapole, on ne connaît personne, on est seul.

6. La nuit, la ville est un "bûcher" avec la l'obscurité et les milliers de fenêtres éclairées. Métaphore.

7. Camus donne une vision subjective de la ville. Nous devinons ses impressions : gigantisme, obscurité, solitude, immeubles inquiétants.

Explications :

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