Answered

Bienvenue sur Laurentvidal.fr, le site où vous trouverez des réponses rapides et précises à toutes vos questions. Rejoignez notre plateforme de questions-réponses pour obtenir des informations précises d'experts dans divers domaines. Posez vos questions et recevez des réponses détaillées de professionnels ayant une vaste expérience dans divers domaines.

Bonjour qui peux m’aidez, je n’arrive pas à faire ce travail et je dois le faire pour le 29 avril avant 9h du matin.

Réécris ce texte en effectuant deux transformations : au présent de l’indicatif et remplace Mme Loisel par « nous »


Un moment de bonheur.


Le jour de la fête arriva. Mme Loisel eut un succès. Elle était plus jolie que toutes, élégante, gracieuse, souriante et folle de joie. Tous les hommes la regardaient, demandaient son nom, cherchaient à être présentés. Tous les attachés du cabinet voulaient valser avec elle. Le Ministre la remarqua.
Elle dansait avec ivresse, avec emportement, grisée par le plaisir, ne pensant plus à rien. […]
Elle partit vers quatre heures du matin. Son mari, depuis minuit, dormait dans un petit salon désert avec trois autres messieurs dont les femmes s'amusaient beaucoup.
Il lui jeta sur ses épaules ses vêtements qu’il avait apportés pour la sortie. […]. Elle le sentit et voulut s’enfuir, pour ne pas qu’elle fût remarquée par les autres femmes qui s’enveloppaient de riches fourrures.

D’après Guy de Maupassant, La Parure, 1884

Sagot :

Réponse :

Un moment de bonheur.

Le jour de la fête arrive. Nous avons un succès. Nous sommes plus jolies que toutes, élégantes, gracieuses, souriantes et folles de joie. Tous les hommes nous regardent, demandent nos noms, cherchent à être présentés. Tous les attachés du cabinet veulent valser avec nous. Le Ministre nous remarque.

Nous dansons avec ivresse, avec emportement, grisées par le plaisir, ne pensant plus à rien. […]

Nous partons vers quatre heures du matin. Nos maris, depuis minuit, dorment dans un petit salon désert avec trois autres messieurs dont les femmes s'amusent beaucoup.

Ils nous jètent sur nos épaules nos vêtements qu’ils ont apportés pour la sortie. […]. nous le sentons et voulons nous enfuir, pour ne pas  être remarquées par les autres femmes qui s’enveloppent de riches fourrures.

Explications :

Merci de nous avoir fait confiance pour vos questions. Nous sommes ici pour vous aider à trouver des réponses précises rapidement. Nous espérons que cela vous a été utile. Revenez quand vous voulez pour obtenir plus d'informations ou des réponses à vos questions. Merci d'utiliser Laurentvidal.fr. Revenez pour obtenir plus de connaissances de nos experts.