Obtenez des solutions à vos questions sur Laurentvidal.fr, la plateforme de questions-réponses la plus réactive et fiable. Découvrez des solutions complètes à vos questions grâce à des professionnels expérimentés sur notre plateforme conviviale. Explorez une mine de connaissances de professionnels dans différentes disciplines sur notre plateforme de questions-réponses complète.

Bonjour, j’espère vous allez bien

Quelqu’un peut m’aider à répondre au question je n’y arrive pas du tout s’il vous plaît

Bonjour Jespère Vous Allez Bien Quelquun Peut Maider À Répondre Au Question Je Ny Arrive Pas Du Tout Sil Vous Plaît class=

Sagot :

Réponse :

1). Pour la question 1, les trois sortes de pouvoirs à souligner sont dans le début du premier paragraphe, l'auteur énonce le fait qu'il y ait trois sorte de pouvoir, et il cite donc trois puissances : la puissance législative, la puissance exécutrice des choses qui dépendent du droits des gens, et la puissance exécutrice de celles qui dépendent du droit civil. C'est cela qu'il faut souligner.

Ensuite, il faut souligner les actions que les trois pouvoirs confèrent, c'est-à-dire, que les trois pouvoirs exercent.

Dans le texte on observe que l'auteur commence par "la première" (l.5), il parle donc de la première puissance, la puissance législative, et dit (je résume) que la puissance législative c'est quand le prince ou le magistrat écrit des lois, qui durent pour un certain temps ou pour toujours, et le magistrat peut aussi modifier des lois déjà écrites, ou alors les abroger, c'est-à-dire les déclarer nulles. Il faut surligner ce passage, de " le prince ou le magistrat ......a faites" (l.5 à 7)

Donc en fait la puissance législative c'est écrire des lois, modifier des lois déjà écrites, ou bien déclarer non valable des lois déjà écrites, ça a un pouvoir sur les lois.

L'auteur continue en citant par la seconde (l. 7), il parle donc de la deuxième puissance, la puissance exécutrice des choses qui dépendent du droit des gens. Cette puissance a le pouvoir de faire la guerre ou la paix, de recevoir des gens venus des ambassades, de protéger les gens, et de prévenir toute invasion.  C'est ce passage qu'il faut surligner de " par la seconde... invasions" (l.7-9).  

Ensuite l'auteur parle de la troisième (l. 9), donc il parle de la troisième puissance, la puissance exécutive des choses qui dépendent du droit civil, et là il dit que cette puissance a le pouvoir de punir les crimes, ou de régler les différents, les problèmes des personnes. de " il punit .....à particulier" (l. 9-10) il faut surligner, car l'auteur énonce les pouvoirs que cette puissance peut attribuer. On surlignera aussi de la même couleur que celle que l'on a utilisée pour la troisième puissance, à la ligne 11 le verbe "juger", car cela résume en un mot ce que la puissance exerce. Donc cette dernière puissance est la justice on peut dire.

Voilà ce qu'il faut surligner pour la question 1.

2). La définition de la liberté politique à encadré et " la liberté politique dans un citoyen est cette tranquillité d'esprit qui provient de l'opinion que chacun a de sa sûreté. "(l.12 à 14).  

Donc d'après l'auteur (Montesquieu), on observe juste après la définition qu'il donne qu'il y a une condition pour que celle-ci marche : "il faut que le gouvernement soit tel qu'un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen."(l. 15 à 17). et il continue " lorsque... à tyranniquement " (l.17 à 22)

D'après moi, je pense que ce que Montesquieu veut dire, c'est que le gouvernement soit tel que ce ne soit pas la même personne qui exerce les trois puissance, car celle-ci pourrait inventer des lois tyranniques, et les faire appliquer tyranniquement, et juger tyranniquement quiconque ne les respecterait pas. Donc pour que la liberté politique fonctionne il faudrait que ce soit des personnes différentes que le peuple choisirait et qui ne serait pas toujours les mêmes, c'est-à-dire qui changerait au cours des années, ( dans la suite du texte c'est écrit (l. 43 à 47)), qui exerce chacune une puissance différente, afin de ne pas influencer les deux autres.

3).  Montesquieu, dans les lignes 29 à 34, critique le régime ou tous les pouvoirs appartiennent à une seule personne, donc la monarchie. Montesquieu jette les bases d'une république démocratique, il en émet les principales conditions.

4). Ce texte est révolutionnaire, car la définition de révolution est un renversement brusque d'un régime politique, or Montesquieu, qui vit à l'époque d'une monarchie, veut renverser les principes de cette monarchie, il ne veut plus que tous les pouvoirs appartiennent à une même personne. ce texte est donc révolutionnaire car il propose les bases d'un nouveau régime, contre l'ancien qui est révolu.

J'espère que je t'ai aidé ;)