Bonjour, je suis un élève de 3ème et j'ai une rédaction à rendre pour lundi.
Je dois rendre cette rédaction sous la forme d'une poésie en prose mais je ne suis pas sur de la fiabilité de mon travail. Pourrais je avoir un avis sur ce que j'ai fait ?
Vous avez recours à des images poétiques / 3
Vous travaillez sur les sonorités (assonance et allitération) /3
Vous travaillez sur le rythme (phrases longues, phrases courtes, usage de la juxtaposition…) /2
Vous utilisez des figures de style diverses /2
Le vocabulaire est recherché /2
Vous avez fait un effort de beauté et d’originalité /2
Votre travail est suffisamment long /2
Vous respectez l’orthographe /2
La construction des phrases est correcte /2
Piégé en mer
Jeter dans l’océan battant et abandonné à elle-même!
Notre envoyé, avec les poissons, fut plongé dans le silence des profondeurs insondables dont nuls sons ne s’échappent, en effet, regorger d’eau, elle ne pouvait flotter.
À peine eut-elle chuté dans les profondeurs absolues, qu’une tortue au dos dodu apparut et disparut pour nous laisser devant deux bancs de poissons qui se faisaient la régate. Un filet surgissant de la pénombre s'abattit; les poissons arrêtèrent leur course, ils ne restèrent pas tous car certains partir prendre l’air sur la terre.
La bouteille, continuant son chemin, fut heureuse pour les poissons, elle aussi aurait voulu tomber dans le filet pour remonter à la surface. Désespéré, était la bouteille au fond de la mer. Désespérée, était la personne l'ayant envoyé. Désespérés, étaient les poissons pris au piège.
La bouteille qui poursuivait son ascension vers les profondeurs se retrouvait maintenant cerné d'un magnifique spectacle. Le cadavre d'un pirate mort de la noyade reposait sur une montagne de sable tel un mort de la sécheresse en plein désert. Les méduses aux couleurs blanches et au mouvement gracieux étaient belle, jolies, magnifique tel un serpent à la peau scintillante sifflant sur le sable durant sa locomation, mais ce plaisir ne fut éternel, la bouteille, maintenant privé de lumière n'avait que pour elle l’espoir, l’espoir de remonter, l’espoir d’apporter son message. Après être tombé plus bas qu’elle ne le pouvait encore, elle se mit à arrêter d'espérer. Le sable la recouvrit, elle finit engloutie.
