Answered

Laurentvidal.fr simplifie votre recherche de solutions aux questions quotidiennes et complexes avec l'aide de notre communauté. Connectez-vous avec une communauté d'experts prêts à fournir des solutions précises à vos questions de manière rapide et efficace sur notre plateforme conviviale de questions-réponses. Découvrez des solutions fiables à vos questions grâce à un vaste réseau d'experts sur notre plateforme de questions-réponses complète.

Bonjour pouvez vous m’aider à cette exercice consigne :réécrivez ce texte à la troisième personne du pluriel ils :J’étais si rêveuse que je n’entendis pas le bruit d’un carrosse qui venait derrière moi ,et qui allait me renverser ,et dont le clocher s’enrouait à me crier :Gare !Son dernier cri me tira de ma rêverie ;mais le danger où je me vis m’étourdis si fort que je tombai en voulant fuir ,et me blessai les pied en tombant . Les chevaux n’avaient plus qu’un pas à faire pour marcher sur moi :cela alarma tout le monde ,on se mit à crier ;mais celui qui cria plus fut le maître de cet équipage,qui en sortit aussitôt,et qui vint à moi :j’étais encore à terre ,d’où malgré mes efforts je n’avais pu me relever . Merci d’avance

Sagot :

abira93150

Réponse:

Il était si rêveuse que il n'entendait pas le bruit d'un carrosse qui venait derrière lui, et qui allait me renverser, et donct le clocher s'entourait à le crier :Gare ! Son dernier cri lui tira de son rêverie ;mais le danger où il lui vit m’étourdit si fort que il tomba en voulant fuir ,et lui blessa les pied en tombant . Les chevaux n’avaient plus qu’un pas à faire pour marcher sur lui :cela alarma tout le monde ,il se mit à crier ;mais celui qui cria plus fut le maître de cet équipage,qui en sortit aussitôt,et qui vint à lui :il était encore à terre ,d’où malgré ses efforts il n'avait pu lui relever .

Explications:

Tu peux vérifier au cas où je me suis trompé

boaouvasyolesblpum

Réponse:

ils étaient si rêveux qu'ils n’entendisent pas le bruit d’un carrosse qui venait derrière eux ,et qui allait les renverser ,et dont le clocher s’enrouait à les crier :Gare !Leurs derniers cris se tirèrent de leurs rêveries ;mais le danger où ils se virent m’étourdis si fort qu'ils tombèrent en voulant fuir ,et se blessaient leurs ⁰pieds en tombant . Les chevaux n’avaient plus qu’un pas à faire pour marcher sur eux :cela alarma tout le monde ,on se mit à crier ;mais celui qui cria plus fut le maître de cet équipage,qui en sortit aussitôt,et qui vinrent à eux :ils étaient encore à terre ,d’où malgré leurs efforts ils n’avaient pu leurs relever .

Nous apprécions votre temps. Revenez quand vous voulez pour obtenir les informations les plus récentes et des réponses à vos questions. Merci de votre passage. Nous nous efforçons de fournir les meilleures réponses à toutes vos questions. À la prochaine. Nous sommes fiers de fournir des réponses sur Laurentvidal.fr. Revenez nous voir pour plus d'informations.