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J’ai pris l’autobus à deux heures. Il faisait très chaud. J’ai mangé au restaurant,
chez Céleste, comme d’habitude. Ils avaient tous beaucoup de peine pour moi et
Céleste m’a dit : « On n’a qu’une mère. » Quand je suis parti, ils m’ont
accompagné à la porte. J’étais un peu étourdi parce qu’il a fallu que je monte
chez Emmanuel pour lui emprunter une cravate noire et un brassard. Il a perdu
son oncle, il y a quelques mois. J’ai couru pour ne pas manquer le départ. Cette
hâte, cette course, c’est à cause de tout cela sans doute, ajouté aux cahots, à
l’odeur d’essence, à la réverbération de la route et du ciel, que je me suis
assoupi. J’ai dormi pendant presque tout le trajet. Et quand je me suis réveillé,
j’étais tassé contre un militaire qui m’a souri et qui m’a demandé si je venais de
loin. J’ai dit « oui » pour n’avoir plus à parler.

Sagot :

Réponse :

Bonjour ,

Explications :

Elles prient l’autobus à deux heures. Il faisait très chaud. Elles mangeaient au restaurant,chez Céleste, comme d’habitude. Ils avaient tous beaucoup de peine pour elles et Céleste m’a dit : « On n’a qu’une mère. » Quand elles parties ils nous ont accompagné  à la porte. Elles étaient un peu étourdies parce qu’il a fallu qu'elles montent chez Emmanuel pour lui emprunter une cravate noire et un brassard. Il a perdu

son oncle, il y a quelques mois. Elles courues pour ne pas manquer le départ. Cette

hâte, cette course, c’est à cause de tout cela sans doute, ajouté aux cahots, à

l’odeur d’essence, à la réverbération de la route et du ciel, qu'elles se sont assoupies. Elles dormies pendant presque tout le trajet. Et quand elles se sont réveillées elles étaient tassées contre un militaire qui nous a souris et qui nous a demandé si elles venaient de loin. Elles dirent « oui » pour n’avoir plus à parler.

Bonjour, voici ma réponse

Elles ont pris l'autobus à deux heures. il faisait très chaud. Elles ont mangés au restaurant, chez Céleste, comme d'habitude. Ils avaient tous beaucoup de peine pour elles et Céleste leur a dit: "on n'a qu'une mère." Quand elles sont parties, ils les ont accompagnées à la porte. Elles étaient un peu étourdies parce qu'il a fallu qu'elles montent chez Emmanuel pour lui emprunter une cravate noire et un brassard. il a perdu son oncle, il y a quelques mois. Elles ont couru pour ne pas manquer le départ. Cette hâte, cette course, c'est à cause de tout cela sans doute, ajouté aux cachots, à l'odeur d'essence, à la réverbération de la route et du ciel, qu'elles se sont assoupies. Elle sont dormi pendant presque tout le trajet. et quand elles se sont réveillées, elles étaient tassées contre un militaire qui leur a souri et qui leur a demandé si elles venaient de loin. Elles ont dit "oui" pour n'avoir plus à parler.

j'espère avoir pu t'aider

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