rcamilatto
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bonjour quelqu'un peut m'aider svp :(
…Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ?
Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ?
Identifiez la figure de style et commentez l’encadrement du nom « êtres » par les deux adjectifs « doux » et « pensifs » (2points)

Ces filles de huit ans qu’on voit cheminer seules ?
Ils s’en vont travailler quinze heures sous les meules ;
Ils vont, de l’aube au soir, faire éternellement
Dans la même prison le même mouvement.
Identifiez et commentez les deux procédés en jeu ici (2 points)

Accroupis sous les dents d’une machine sombre,
Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre,
Identifiez et commentez le procédé en jeu ici (2 points)

Innocents dans un bagne, ange dans un enfer,
Identifiez et commentez les procédés en jeu dans ce vers (2 points)

Ils travaillent. Tout est d’airain, tout est de fer.
Jamais on ne s’arrête et jamais on ne joue.
Aussi quelle pâleur ! La cendre est sur leur joue.
Identifiez et commentez le procédé en jeu ici (2 points)
Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las.

Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas !
Ils semblent dire à Dieu : -Petits comme nous sommes,
Notre père, voyez ce que nous font les hommes !...

Comment Victor Hugo dénonce-t-il le travail des enfants ? /5

Sagot :

niogret2m

Réponse :

1) Deux interrogatives.

…Où vont tous ces enfants dont pas un seul ne rit ?

Ces doux êtres pensifs que la fièvre maigrit ?

"Doux êtres pensifs". périphrase.

"Êtres " est encadré de 2 adjectifs : doux, pensifs.

2. Ces filles de huit ans qu’on voit cheminer seules ?

Ils s’en vont travailler quinze heures sous les meules ;

Ils vont, de l’aube au soir, faire éternellement

Dans la même prison le même mouvement.

Les 2 procédés : "sous les meules" : métaphore

Dans la même prison le même mouvement.

"parallélisme, même construction.

3. "Accroupis sous les dents d’une machine sombre,

Monstre hideux qui mâche on ne sait quoi dans l’ombre,

"

Métaphore filée.

4. "Innocents dans un bagne, ange dans un enfer,

"

Antithèses

5. "Ils travaillent. Tout est d’airain, tout est de fer.

Jamais on ne s’arrête et jamais on ne joue.

Aussi quelle pâleur ! La cendre est sur leur joue.

"

Métaphores : airain, cendre

6. "Il fait à peine jour, ils sont déjà bien las.

Ils ne comprennent rien à leur destin, hélas !

Ils semblent dire à Dieu : -Petits comme nous sommes,

Notre père, voyez ce que nous font les hommes !..".

Il imagine la prière des enfants à Dieu.

Explications

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