Réponse :
Son monde entier s'écroulait à cette annonce. Elle était fausse ? Les dix ans passés à essayer de rembourser la véritable parure était finalement inutile...Mathilde tourna les talons et rentra chez elle. Là, seule, elle s'effondra, ne pouvant plus retenir ses larmes. M Loisel rentra plus tôt du ministère ce jour-là et, trouvant sa femme en pleur, demanda :
-"Que c'est-il passé ?
-La parure, répondit Mathilde entre deux sanglots, elle...elle était fausse...
-Comment ? Et ne l'as-tu pas récupérée ?
-Non, pourquoi l'aurais-je fais ?
-Car nous l'avons payé cette parure ! Elle est à nous ! explosa M Loisel. Je vais la chercher, même si pour cela il me faut tuer !"
Les pleurs de Mathilde furent aussitôt remplacés par de la peur. C'était bien la première fois qu'elle voyait son mari aussi cruel, presque fou. Dans sa terreur, elle ne put le retenir. Celui-ci, justement, se hâtait déjà dans les rues. Il dépassa la Seine et se rendit au domicile de Mme Forestier. Elle lui ouvrit et dit avec un aimable sourire :
"-Bonjour, Georges, que me vaut l'honneur de...
-Je veux la parure, la coupa M Loisel, maintenant ! Et puis, toute cette histoire est de votre faute ! Sur ces paroles, il poussa/tua la femme (au choix) et partit avec la parure. La police/Les gendarmes fut/furent alertée/s mais personne ne retrouva le voleur. Son domicile était vide et sa femme envolée avec lui.
Voilà voilà,je ne suis pas écrivaine mais bon...tu peux changer quelques petites choses si tu veux.
